•  

     

     

    Cet article à pour vocation d'apporter ou vision ou approche anti-psychanalytique de toutes ces thématiques qui me semble évidemment liées!!! La psychanalyse "traditionnelle" au sein de la psychiatrie en générale ayant tendance à tout compartimenter (d'où ce débat sans fin sur les "étiquettes"!!!) pour justifier les traitements médicamenteux de leurs amis les pharmaciens avec les "miracles" des neuroleptiques notamment et autres "benzomachintruc"... Ou des thérapies bizarre (internement, packing et autres camisoles en tout genre... N'avez vous pas remarqué l'étrange composition du terme camisole, Cam-isole...)!

    (...)

     

    • Autisme et schizophrénie: pas toujours une question d’hérédité

     

    "« Notre recherche souligne l’importance des mutations de novo dans la prédisposition génétique à l’autisme et à la schizophrénie. Nous avons observé une fréquence accrue de mutations de novo sévères dans les principaux gènes cérébraux associés à ces deux maladies », explique le directeur de cette étude, Guy Rouleau, professeur à l’Université de Montréal, directeur du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et chercheur au CRCHUM.

    Qu’est-ce qui pourrait bien provoquer de telles mutations génétiques «récentes» et sévères ?

    C’est quelque chose ça ! Il ne s’agit pas de la longue et patiente évolution de la vie… qui avance à si petits pas que la science ne peut qu’émettre des hypothèses à son sujet; il s’agit de mutations qui se produisent pendant une courte période: la vie d’un seul être humain. Ce n’est pas rien ! On ne parle pas de l’âge des sujets mais imaginons qu’il devait bien y avoir quelques enfants parmi ceux atteints d’autisme non ? Nous devons comprendre ce qui provoque des mutations sévères et aussi rapides de l’ADN humain !

    Que s’est-il passé pendant la vie de ces personnes pour que certaines de leurs cellules cérébrales mutent aussi dramatiquement ? Quand on ne peut plus pointer l’hérédité que reste-t-il ? on ne viendra pas dire que c’est provoqué par un état de conscience altérée non ? (je pense donc je mute) la conscience n’influence pas la matière à les entendre.

    Alors c’est quelque chose de physique ? peut-être quelque chose que ces sujets ont ingéré (d’une manière ou d’une autre) durant leur vie, peut-être au début de leur vie, alors que leur organisme était particulièrement vulnérable et délicat ? qui sait ? Nous avalons et nous faisons injecter tellement de cochonneries au cours de notre vie qu’aucun scientifique ne peut avancer qu’à long terme, ces différents mélanges soient sans danger.

    Si cette recherche n’est pas jugée trop risquée par l’industrie, elle pourrait mener à d’autres études au cours desquelles je vous parie qu’on regardera de tous les côtés, sauf dans la direction du (ou des) présumés coupable(s).

    Pensez-vous que l’industrie (incluant l’industrie chimico-agro-alimentaire qui s’en met plein les poches en nous empoisonnant à petits feux) va subventionner sa propre perte ? Les vrais coupables peuvent se cacher encore longtemps, leurs bouc-émissaires sont interchangeables et la vie de ces derniers n’a pas plus d’importance que la nôtre à leurs yeux..."

    http://www.resterenvie.com/blogue/?p=992 

     
     

    • Le trouble borderline ou TPL (Trouble de la Personnalité Limite):

     

    Etat des lieues, synthèses à voir pour commencer sur ce premier site...

     

    "Troubles de la personnalité, personnalités pathologiques. Classification, grandes lignes des troubles de la personnalité. DSM IV et troubles de la personnalité, CIM et troubles de la personnalité. Profils cognitifs. Vision psychanalytique..."

     

    "Le but recherché n'est pas de détailler et d'expliquer longuement les différents troubles de la personnalité mais tenter de faire ressortir des traits marquants, des symptômes de chaque trouble.

    Vous trouverez donc sur cette page plusieurs visions des troubles de la personnalité.

    http://www.aapel.org/bdp/BLtroublespers.html

     

    - L'énumération simple des troubles de la personnalité selon le DSM IV américain

    - Notre vision (en partant de la liste DSM IV) (<span class=" fbUnderline">notre = l'équipe du site</span>)

    - La vision francophone (européenne)

    - La vision cognitive selon Beck

    - La vision psychanalytique de la personnalité selon Freud & co...

     

    La "morale de l'histoire" touche au mythe de la tour de Babel. C'est à dire que dans notre monde actuel, des "psy" se côtoient et ne parlent pas la même "langue". C'est ainsi que selon le "psy" que l'on a face à soi, on peut se retrouver avec des diagnostics totalement opposés selon la "religion" du psy. La définition du trouble de la personnalité borderline vue par le DSM (vision internationale) ou du trouble..."

     

    Synthèse incontournable et très clair ici!!! http://www.aapel.org/bdp/BLtroublespers.html

     

    Ceci dit je remet sérieusement en cause certaines incompatibilités notamment borderline-schizoïde... C'est très réducteur à mes yeux car il y a tellement de similitude!!! Borderline étant la partie "malade" et schizoïde la partie "protectrice"...

     

     

    Qu'est-ce que le trouble de la personnalité limite (borderline)?

     

    "Le trouble de la personnalité borderline (ou trouble de la personnalité limite) est caractérisé par des émotions intenses, des comportements impulsifs et une instabilité de l'identité et des relations. Le trouble est généralement considéré comme résultant d'une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux (les expériences vécues).

     

    Voici les critères du DSM-IV pour le diagnostic de ce trouble:

     

    Il s'agit d'un mode général d'instabilité des relations interpersonnelles, de l'image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui est présent au début de l'âge adulte et dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: 

     

        (1) efforts effrénés pour éviter les abandons réels ou imaginés

     

        (2) mode de relations interpersonnelles instables et intenses caractérisées par l'alternance entre les positions extrêmes d'idéalisation excessive et de dévalorisation

     

        (3) perturbation de l'identité: instabilité marquée et persistante de l'image ou de la notion de soi (ex. retournements brutaux et dramatiques de l'image de soi, avec des bouleversements des objectifs, des valeurs et des désirs professionnels; des changements soudains de d'idées et de projets concernant la carrière, l'identité sexuelle, le type de fréquentations)

     

        4) impulsivité dans au moins deux domaines potentiellement dommageables pour le sujet (ex.: dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile dangereuse, crises de boulimie).

     

        5) répétition de comportements, de gestes ou de menaces suicidaires, ou d'automutilations

     

        6) instabilité affective due à une réactivité marquée de l'humeur (ex.: dysphorie épisodique intense, irritabilité ou anxiété durant habituellement quelques heures et rarement plus de quelques jours)

     

        (7) sentiments chroniques de vide

     

        (8) colères intenses et inappropriées ou difficulté à contrôler sa colère (ex.: fréquentes manifestations de mauvaise humeur, colère constante ou bagarres répétées)

     

      (9) survenue transitoire dans des situations de stress d'une idéation persécutoire ou de symptômes dissociatifs sévères. 

    Le diagnostic est porté chez une personne rencontrant au moins 5 de ces manifestations si les symptômes sont sévères et sont présents assez longtemps pour causer une détresse émotionnelle ou des problèmes de fonctionnement dans les relations ou au travail.

     

    Des épisodes psychotiques (paranoïa ou perte d'un sens de la réalité) temporaires sont possibles particulièrement lorsque la personne traverse une crise personnelle.

     

    Le trouble de personnalité limite (borderline) est souvent accompagné d'autres troubles tels que troubles de l'humeur (dépression, trouble bipolaire), abus de substance, trouble alimentaire (ex. boulimie)." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=3884

    Voir aussi...

    DOSSIER: Trouble de la personnalité limite (ou borderline)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7126

     

     

    Le trouble de la personnalité limite (borderline) serait sous-diagnostiqué

     

    "Le trouble de la personnalité limite (borderline) pourrait être sous-diagnostiqué selon une étude de l'École de médecine du Mont Sinai (New York) présentée au congrès annuel de l'American Psychiatric Association. L'étude portait sur les antécédents de diagnostics et de traitements chez 70 personnes rencontrant les critères de ce trouble.

     

    Le diagnostic de trouble de la personnalité limite peut être difficile à poser parce que les symptômes de ce trouble chevauchent ceux d'autres troubles..."

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6877

     

     

    Le trouble de personnalité limite souvent diagnostiqué comme trouble bipolaire

     

    "Une étude de l'Université Brown (É.U.) montrait que moins de la moitié des personnes ayant reçu un diagnostic de trouble bipolaire (aussi appelé maniaco-dépression ou psychose maniaco-dépressive) recevait une confirmation de ce diagnostic lorsqu'une évaluation rigoureuse était réalisée avec un outil d'entrevue clinique. Dans une deuxième phase de cette étude, publiée dans le Journal of Clinical Psychiatry, Mark Zimmerman et ses collègues ont déterminé les diagnostics exacts de ces personnes.

     

    Le diagnostic le plus fréquent chez 82 personnes ayant reçu erronément un diagnostic de trouble bipolaire était le trouble de la personnalité limite (ou borderline).

     

    D'autres diagnostics retrouvés chez les personnes ayant reçu un diagnostic erroné de trouble bipolaire étaient la dépression majeure, le trouble du contrôle des impulsions, le trouble de personnalité antisociale, l' état de stress post-traumatique et les troubles alimentaires." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7049

     

     

    Le trouble de personnalité limite, une maladie neuropsychologique qui se précise

     

    "Chez les personnes souffrant du trouble de personnalité limite (TPL), aussi appelé trouble de la personnalité borderline, il y a des différences de densité dans la matière grise (constituée par les cellules nerveuses et leurs connexions) de deux régions clés du circuit de régulation des émotions. Ces différences se reflètent par des anomalies dans le fonctionnement de ces régions.

     

     

    Les personnes souffrant de TPL ont un excès de matière grise dans l'amygdale, une structure du cerveau liée à la peur et à l'anxiété. Cette région est sur-activée en réponse à certains stimuli perçus comme menaçants.

     

    À l'inverse, une région qui régule l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur situé à l'avant du cerveau, présente une déficience en cellules nerveuses et est sous-active. Cette région échoue à jouer son rôle qui serait normalement de mettre un frein à l'emballement de la réponse de peur, expliquent les chercheurs.

     

    Des altérations similaires dans les mêmes circuits ont été associées à la dépression et aux troubles anxieux, indiquant que le TPL peut partager des mécanismes communs avec ces troubles qui ont traditionnellement été abordés par la lorgnette de la biologie. Rappelons que les troubles de la personnalité ne sont traditionnellement pas considérés comme reliés à des problèmes organiques du cerveau." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6298

     

     

    Une influence génétique pour le trouble de personnalité limite (borderline)

     

    "Le trouble de personnalité limite (borderline) est en grande partie génétique selon une récente recherche américaine et néerlandaise publiée dans la revue Psychological Medicine.

     

    Timothy Trull de l'université du Missouri et ses collègues ont étudié les données de 5496 jumeaux aux Pays-Bas, en Belgique et en Australie : 42% de la variation dans les caractéristiques de personnalité limite était attribuable à l'influence génétique et 58% à l'influence environnementale. Ces résultats étaient consistants à travers les trois pays.

     

    Il n'y avait pas de différence dans les taux d'héritabilité entre hommes et femmes. Les jeunes présentaient plus de traits du trouble que les adultes plus âgés." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6488

     

     

    "Dr Fineltain Ludwig, Neuropsychiatre-Psychanalyste ACTUALITE DU SYNDROME BORDERLINE

    Étant donné l'importance et la complexité du sujet, ce troisième numéro du Bulletin de Psychiatrie lui sera entièrement consacré. On trouvera un premier article qui survole l'ensemble de la problématique borderline et un second article étudie, au travers des symptômes, la question philosophique du projet d'existence chez le borderline. Nous nous demanderons aussi comment ce syndrome met en question et subvertit les doctrines psychiatriques classiques dans des domaines aussi divers que la nosologie et la psychanalyse.

    Prochains articles prévus dans le numéro 4: -Internet et la psychiatrie -La psychiatrie du futur"

     

    1)Définitions

    2)Les errements de la terminologie: borderline, état-limite ou styxose?

    3)Le cheminement du concept 1938 à 1985.

    4)L'étude des publications contemporaines de 1993 à 1995

    5)La thèse psychanalytique de Harold Searles et d'autres auteurs

    6)Le syndrome borderline et le suicide

    7)Le syndrome borderline et la sexualité

    8)Deux cas cliniques

    9)Réflexions sur le syndrome borderline

    10)Subversion de la technique psychanalytique

    11)Subversion de la nosologie classique

    12)La téléologie. Outre l'analyse du transfert il faut prendre en compte le projet de vie ou "télos" méthode que je nommerais volontiers téléoanalyse."

    http://www.bulletindepsychiatrie.com/bulle3.htm

     

    http://www.personnalitelimite.org

    http://www.aforpel.org/

    Vidéos

     

    Le trouble de personnalité borderline

    http://www.dailymotion.com/video/x5ljoh_le-trouble-de-personnalite-borderli_webcam

    Trouble de Personnalité Limite (T.P.L.)/Borderline

    http://www.youtube.com/watch?v=371_cYaBB8Q

     

    • Trouble de la personnalité schizoïde ( signes autistiques évidents!!!)

     

    "Cette personne vit seule sans ressentir les conséquences de sa solitude. Elle ne manifeste aucun intérêt pour les relations sociales. Elle n'est pas touchée par les marques de sympathie ou d'affection et n'exprime quasiment jamais ses émotions. Ses loisirs sont solitaires et son activité professionnelle est souvent indépendante

    La personne schizoïde, chez qui donc règne la peur inconsciente d'être présent et d'avoir à s'investir dans le monde concret, peut manifester des symptômes divers :

    • appétit coupé par les émotions et/ou la peur (anorexie). Repas en petites quantité, à plusieurs reprises dans la journée

    • les diverses maladies de la peau (eczéma, allergies, ...)

    • problèmes respiratoires

    • angoisse et anxiété sans aucune raison extérieure

    • dépression, fatigue chronique, manque d'énergie, difficulté de concentration et de mémoire. L'inconscient retirant constamment l'énergie, le sujet déprime et perd le goût de vivre sans comprendre pourquoi

    • facilement attiré par les psychotropes, qui auront tendance à le propulser encore plus en dehors de la réalité, abus de sucres, drogues

    • faiblesse immunitaire et problèmes de circulation sanguine. Le sujet a souvent les extrémités du corps (mains et pieds surtout) froides

    • le sujet n'a pas tendance à prendre soin de son corps.

    Ces sujets apparaissent doux, affables, introvertis,en générale on retrouve les caractéristiques suivantes:

    • ils sont réservés et ne cherchent pas le contact avec autrui

    • sexualité absente ou réduite, souvent immature

    • ils présentent souvent un attachement aux animaux.

    • vie imaginaire riche

    • pas de troubles du cours de la pensée ou de bizarrerie de comportement.

    Pour les personnes schizoïde, en général, le comportement des autres n'est pas facile à comprendre et à décrypter. Par exemple, il a du mal à se mettre à la place des autres et donc à imaginer ce que peuvent être leurs émotions ou leurs sentiments. Autrement dit, elle n'est pas ou peu capable de se montrer empathique. La personne schizoïde préfère donc s'isoler, vivre en retrait dans son propre monde. Elle a de fait peu d'amis intimes et s'arrange fort bien avec cette solitude relative et choisie dont elle a réellement besoin pour se ressourcer. Inutile donc de chercher à être en permanence en communication avec une personne schizoïde ! Mieux vaut apprendre à respecter cet espace de silence dont elle a besoin.Si la personne schizoïde paraît indifférente aux critiques ou aux compliments des autres, elle n'y est pas moins sensible mais elle ne sait pas nécessairement l'exprimer ou le montrer, ce qui peut être parfois déroutant. Dès lors, sachez être attentif à des expressions émotionnelles discrètes et « n'exigez pas d'elle qu'elle exprime des émotions intenses »."

    http://les.autres.over-blog.net/article-3643235.html

     

    Sites intéressants sur la personnalité schizoïde

    http://www.schizoide.net/

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_la_personnalit%C3%A9_schizo%C3%AFde

     

    http://www.psychoweb.fr/articles/psychopathologie/74-groupe-a-personnalite-schizoide.html

     

    La période ascensionnelle - Personnalité - Cycloïdes et schizoïdes

    http://www.megapsy.com/Mental/pages/030.htm

     

     

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