•  Maladie de Myofasciite à Macrophages et vaccins contenant de l'aluminium (comme celui de l'hépatite B) 

     

    Cette maladie n'est ni plus ni moins l'un des symptômes ou effets secondaires de vaccination avec adjuvant contenant notamment de l'aluminium... c'est reconnu scientifiquement.

    A savoir que théoriquement, cette "dose" d'aluminium doit pouvoir être retrouvé dans la ou les zones de l'injection!

    Suite au grande campagne de vaccination comme l'hépatite B (dont j'ai eu "droit" à 2 piqures si je me rappelle bien) cumulé aux vaccinations classiques ou obligatoires contenant la plupart du temps de l'aluminium (voir liste en bas de l'article), il y a de forte chance de voir cette maladie, largement attribué à l'aluminium contenu dans les vaccins, émerger voire "exploser"...

     

    La Myofasciite à macrophages (myopathie inflammatoire acquise)

    Extrait de Wikipédia...

     

    "L'aluminium, un métal neuro-toxique pour la santé.

     

    La Myofasciite à macrophages (MFM) est une maladie rare et invalidante, découverte récemment, due à une mauvaise assimilation par l'organisme de l’hydroxyde d’aluminium contenu dans certains vaccins, notamment celui de l’hépatite B.

     

    Histoire

    La découverte de la myofasciite à macrophages s’est faite en plusieurs étapes de 1993 à 2000. Elle a été considérée d’abord comme une maladie infectieuse, mais la mise en évidence d’aluminium dans les biopsies musculaires a orienté la recherche vers les vaccins à adjuvant aluminique, en particulier celui contre l’hépatite B[3].

    L'émergence de la MFM correspond à la généralisation de la voie intramusculaire pour les vaccinations en France au début des années 1990.

     

    Tableau clinique

    Le tableau clinique est invalidant et comporte schématiquement 3 états :

    • un état « de précarité » (prédominant) : associant des troubles physiques et neuro-cognitifs invalidants ;
    • un état « de décharge » : incapacité fonctionnelle totale par perte de l’éveil ;
    • un état « de grâce » : bouffée de rémission proche de l’état sain.

    A. État « de précarité »

    L’état « de précarité » est caractérisé principalement par des douleurs permanentes, une fatigue chronique générale, menant à l’épuisement, associée à une asthénie musculaire et des troubles neuro-cognitifs.

    I. État général détraqué

    L’état général est marqué par une faiblesse et une fatigue chroniques, intenses et invalidantes pour les activités les plus élémentaires, telles que l’équilibre ou la marche, parfois même l’expression verbale, auxquelles s’ajoute un syndrome pseudo-grippal quasi-permanent, régulièrement ponctué de malaises.

    II. Douleurs chroniques et invalidantes

    II.1. Arthralgies

    • Permanentes et fluctuantes en intensité et en localisation, sur toutes les articulations périphériques et axiales.
    • Poussées congestives et inflammatoires pluri-quotidiennes.

    II.2. Myalgies

    • Courbatures et contractures sévères, permanentes et fluctuantes en localisation, sur tous les muscles périphériques et les muscles dorsaux et cervicaux, s’aggravant en intensité au moindre effort et persistant plusieurs jours après. Le plus souvent de type inflammatoire.
    • Douleurs à la contraction musculaire tenue (tenir un livre, un téléphone, etc.)
    • Douleurs à la pression du corps musculaire et des tendons des muscles squelettiques.
    • Crampes paroxystiques très invalidantes.

    II.3. « Ossalgies »

    • Intenses et inquiétantes.

    II.4. Autres douleurs

    • Douleurs diffuses fluctuantes et non-systématisables (mains, cou, etc.).
    • Céphalées chroniques, parfois migraines oculaires.
    • Douleurs abdominales, à type de contractures et de brûlures.

    III. Troubles moteurs chroniques

    III.1. Motricité volontaire

    • Diminution globale et invalidante de la force musculaire, affectant le moindre geste du quotidien (écrire, tourner une clé, couper la viande, mâcher, port de charges même légères, se raser, etc.).
    • Troubles du tonus musculaire marqués par une hypotonie générale.
    • Diminution de l’endurance et de la résistance musculaires.
    • Dyspnée à l’effort modéré.
    • Ataxie rendant la marche difficile, lente et instable, ou obligeant un rythme rapide.
    • Troubles posturaux statiques (assis, debout) et dynamiques.
    • Troubles de l’équilibre lors des transferts, en position debout et lors de la marche.
    • Incoordinations cinétiques, maladresse gestuelle (perte de la précision et du contrôle de la force des préhensions, marches d’escaliers loupées, objets qui échappent, etc.) des deux côtés.
    • Troubles d’élocution : dysphonies, réduction du flux, blocages phonatoires, dysarthrie.
    • Fausses-routes.

    III.2. Motricité involontaire

    • Myoclonies, contractions fugaces, diurnes et nocturnes, des muscles des quatre membres et des spinaux.
    • Contractions nocturnes involontaires et violentes des masséters.
    • Dyskinésies discrètes des mains perturbant certains gestes fins (saisie clavier par ex.)

    IV. Troubles divers

    IV.1. Troubles sensitifs chroniques

    • Cénestopathie générale.
    • Hypoesthésie pulpaire des mains.
    • Paresthésies d’intensité variable des 2 mains. Parfois au niveau des pieds.
    • Dysesthésies douloureuses, à type d’aiguilles, des appuis plantaires au lever.

    IV.2. Troubles sensoriels chroniques

    • Acouphènes.
    • Hyperacousie.
    • Sensibilité à la lumière intense (néon, halogène, parfois lumière naturelle).
    • Diplopie, baisse de l’acuité visuelle.
    • Fatigue oculaire nécessitant de gros efforts pour lire.

    IV.3. Troubles neuro-végétatifs chroniques

    • Troubles thermiques (frilosité, bouffées de chaleur) et invalidants.
    • Hypotension.
    • Sensations vertigineuses.
    • Hypersudations générales, nocturnes et parfois diurnes.
    • Rougeur spontanée régulière des paumes des mains.

    IV.4. Troubles du sommeil chroniques

    • Endormissement difficile.
    • Sommeil perturbé par les troubles thermiques et des réveils réguliers.
    • Syndrome des jambes sans repos.
    • Fatigue importante au lever.

    IV.5. Troubles gastro-intestinaux

    • Troubles du transit, alternant diarrhées et constipations.
    • Météorisme, nausées épisodiques.

    IV.6. Troubles sphinctériens

    • Impériosités.
    • Fuites urinaires.

    V. Troubles neuro-cognitifs permanents

    • Troubles de la vigilance nécessitant une stimulation intellectuelle permanente
      • hypersomnolence
      • état d’éveil imposant régulièrement des efforts épuisants
    • Troubles de l’attention, de la concentration intellectuelle et de l’association des idées
      • interruption coûteuse des tâches les plus élémentaires, refaire/revenir en arrière pour reprendre
      • fatigabilité intellectuelle à la lecture, l’écriture, la tenue d’une conversation
    • Troubles de la mémoire à court terme
    • Altération de la mémoire procédurale
    • Ralentissement psychomoteur
    • Perte des chiffres, acalculie, dyscalculie
    • Troubles phasiques
      • perte du mot, confusions épisodiques, difficulté à exprimer les idées de façon univoque
      • troubles de la syntaxe, de la grammaire, dysorthographie
      • substitutions, inversions orales et écrites de syllabes et mots, omission de lettres à l’écrit
    • Perturbation des fonctions exécutives
    • Altération de la prise d’initiative
    • Troubles du comportement
      • modifications de l’humeur et du caractère, sensation d’instabilité, irritabilité, voire irascibilité
      • anxiété de l’inconnu, de l’imprévu, du dehors, de l’empressement, des bousculades
      • apathie épisodique, perte de l’estime de soi, aboulie
      • idées persistantes, blocages devant des situations pourtant simples

     

    B. État « de décharge »

    L’état « de décharge » est marqué par une incapacité mentale et fonctionnelle totale, liée à un effondrement massif général, pseudo-comateux. La conscience d’abord présente, ne supporte aucune communication avec l’entourage, puis cède rapidement dans un sommeil profond. L’image la plus parlante semble être celle de la batterie vide qu’il faut recharger par le sommeil. La survenue des crises est imprévisible. Quelques signes annonciateurs (bâillements impérieux, épuisement soudain, asthénie mentale plus intense) apparaissent un peu avant l’effondrement et permettent de s’isoler.

     

    C. État « de grâce »

    L’état « de grâce » est marqué par une sorte de rémission :

    • presque plus de douleur ni de troubles moteurs ;
    • fluidités cognitive et gestuelle.

    Histologie

    Les lésions histologiques sont spécifiques. La biopsie musculaire pratiquée sur le site de la vaccination, le plus souvent le deltoïde gauche, montre une infiltration du fascia et du tissu conjonctif péri et endomysial par des macrophages PAS+ contenant des cristaux d’hydroxyde d’aluminium.

     

    Biologie

    Les rares signes retrouvés au bilan sanguin sont parfois :

    • augmentation modérée de la vitesse de sédimentation ;
    • augmentation modérée des Transaminases GPT (CPK)."

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Myofasciite_%C3%A0_macrophages

     

    • La vaccination anti-hépatite B

    "Les effets indésirables de la vaccination contre l'hépatite B sont:

    • arthrites
    • lichen plan, érythème noueux
    • glomérulonéphrite
    • périartérite noueuse, péricardites aiguës, vascularites
    • thrombocytopénie
    • myofasciite à macrophages : il est maintenant établi que l'hydroxyde d'aluminium, utilisé comme adjuvant des vaccins contre l'hépatite B, est à l'origine de la myofasciite à macrophages; l'Afssaps considère cependant qu'il n'est pas démontré que la myofasciite à macrophages soit autre chose qu'un phénomène histologique local et ait des effets cliniques. De plus en plus de médecins cliniciens et de tribunaux reconnaissent cependant la présomption d'imputabilité. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande vivement depuis 1999 d’entreprendre des recherches afin d’évaluer les aspects cliniques, épidémiologiques, immunologiques et biologiques de cette maladie rare.
    • aucun lien de causalité directe entre sclérose en plaque et vaccin anti-hépatite B n'est établi à ce jour; le professeur Didier Houssin, directeur interministériel à la lutte contre la grippe aviaire en France, a averti en septembre 2008 d'une action en réponse à une étude identifiant un risque de sclérose en plaque chez l'enfant après vaccination contre l'hépatite B. L'équipe du Pr Marc Tardieu, de l'hôpital Bicêtre, retrouvait en 2008 lors d'une étude que la vaccination contre l'hépatite B n'augmentait pas de façon générale le risque de démyélinisation du système nerveux central dans l'enfance, mais retrouvait que l'un des vaccins contre l'hépatite B, Engerix B, semblait augmenter ce risque, particulièrement pour les scléroses en plaque confirmées sur le long terme. Selon ces travaux, qui démontreraient pour la première fois un tel risque chez l'enfant, celui-ci subsisterait trois ans après la vaccination. Le professeur Houssin précise qu'« il n'y a pas de remise en cause de la recommandation vaccinale ».

     

    La Commission de pharmacovigilance de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), puis le Comité technique des vaccinations, sont actuellement en charge de la question. Le vaccin contre l'hépatite B reste recommandé en France pour tous les enfants âgés de 2 mois à 13 ans, ainsi que pour les personnes « à risque ».

     

    À noter que de façon permanente les autorités médicales mettent en balance les risques et les bénéfices de chaque vaccin et sont amenés à en abandonner certains (variole, choléra par exemple) et à en recommander d'autres (méningites A et C par exemple)."

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccination

     

     

    • Association Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages

    http://www.myofasciite.fr

     

    3 entrevues filmées sur la myofasciite à macrophages (très instructif!)

    Pr Romain GHERARDI

    Pr François-Jérôme AUTHIER

    Mme Virginie BELLE 

    http://www.myofasciite.fr/?page=entrevuesFilmees#authier

     

    Symptômes

    La symptomatologie de la MFM :

    Encore mal reconnue en France, la myofasciite à macrophages est une maladie complexe dominée par :

    Un épuisement chronique depuis plus de 6 mois (plus de 90% des cas [1]) non améliorée par le repos et évoluant sur plusieurs mois, voire plusieurs années ; [1] Gherardi RK, Authier FJ. Aluminium inclusion macrophagic myofasciitis: a recently identified condition. Immunol Allergy Clin N Am. 23, 699-712. 2003.

    Des myalgies chroniques d'intensité variable, souvent aggravées par l'effort, avec une fatigabilité musculaire invalidante (environ 90% des cas) ;

    Des douleurs articulaires touchant principalement les grosses articulations périphériques sont notées dans 50 à 60% des cas. Un syndrome fébrile modéré est noté dans 30 % des cas.

    Une fatigabilité musculaire à l'effort

    Des troubles du sommeil (myoclonies nocturnes, syndrome des jambes sans repos) (environ la moitié des cas)

    modification de l'électroencéphalogramme durant la polysomnographie nocturne (mise en évidence par l'équipe du Dr Éric KONOFAL, centre du sommeil de la Pitié-Salpêtrière)

     

    Critères biologiques de la MFM

    profil inflammatoire : élévation des concentrations circulantes d'IL6 et d'IL1RA (~40% des cas)

    augmentation des CPK (~25% des cas).

    dysimmunité : auto-anticorps antinucléaires (~30% des cas), antiphospholipides (~20% des cas)

    La maladie touche le plus souvent l'adulte, sans prédominance de sexe, mais aussi des jeunes adolescents, enfants en bas âge et à ce jour il se diagnostique au minimum 15 Myofasciites par mois (France).

    Malheureusement, nous commençons à voir des cas de pathologies familiales (père-fils, mère-fils, jumeaux, mère-fille-fils…). 

    http://www.myofasciite.fr/?page=symptomes

     

    Dossier détaillé: http://www.myofasciite.fr/?page=dossierDetaille

    Liste des vaccins avec aluminium: http://www.myofasciite.fr/?page=vaccins

    Avertissement sur les vaccins (2008): http://www.myofasciite.fr/?page=vaccinsAvert2008

     

     

    • Comité consultatif mondial sur la sécurité des vaccins

     

     

    Subnavigation

    • GACVS page d'accueil
    • Le Comité
    • Sujets
    • Rapports du Comité
    • L'imputation de causalité

    Myofasciite à macrophages et vaccins contenant de l’aluminium

    Considérations générales

    L’apparition d’un type nouveau de lésion histopathologique d’origine inconnue appelée myofasciite à macrophages (MMF) et caractérisée par une myopathologie unique en son genre, a été signalée par le Groupe d’études et de recherche sur les maladies musculaires acquises et dysimmunitaires (GERMMAD) de l’Association française contre les myopathies.

    La MMF se caractérise par une infiltration centripète de l’épimysium, du périmysium et de l’endomysium périfasciculaire par des cellules négatives à la réaction acide periodique-réactif de Schiff (PAS) appartenant à la lignée macrophagique et porteuses d’inclusions cristallines osmiophiles. Une biopsie du deltoïde permet de la mettre en évidence, surtout chez l’adulte, encore qu’on l’ait également décelée chez 3 jeunes enfants par biopsie du quadriceps.

    Ce sont les 2 localisations de la lésion histopathologique. Il y a absence de nécrose (des cellules épithélioïdes et géantes) et de figures de mitose, et des lésions à peine visibles au niveau des fibres.

    L’étude de la nature chimique des inclusions présentes dans les macrophages à l’aide d’une microsonde nucléaire, par microanalyse aux rayons X ou par spectrométrie d’absorption atomique a montré qu’elles sont constituées de sels d’aluminium. Etant donné que les sels d’aluminium sont utilisés comme adjuvant dans un certain nombre de vaccins, on a émis l’hypothèse que la MMF serait une réaction inhabituelle à l’injection intramusculaire de vaccins contenant de l’aluminium. Comme on ne pratique de biopsies musculaires que chez les malades présentant des symptômes de myopathie, on ignore pour l’instant si cette histopathologie localisée caractéristique est susceptible de se produire à la suite de vaccinations dans une population en bonne santé. Pour déterminer s’il existe une relation causale entre la MMF et les vaccins contenant de l’aluminium, le Comité consultatif pour la sécurité des vaccins s’est réuni avec des scientifiques du GERMMAD, des spécialistes réputés dans le domaine des maladies neuromusculaires et des adjuvants aluminiques, des représentants de l’industrie, du Secrétariat d’Etat français à la santé et à l’action sociale, et de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé.

    Examen des faits scientifiques

    Les faits qui ont été soumis au Comité prouvent l’existence d’une entité histopathologique distincte appelée myofasciite à macrophages, caractérisée d’une part par la présence, dans le deltoïde, d’amas denses, persistants et localisés, de macrophages positifs au PAS accompagnés d’inclusions cristallines osmiophiles d’aluminium, et d’autre part par une réaction inflammatoire chronique focale.

    Il existe, à l’appui de ces observations, des données faisant état de lésions passagères comparables chez des animaux de laboratoire après injection intramusculaire de vaccins contenant de l’aluminium.

    On a des raisons de penser que la lésion locale qui caractérise la MMF pourrait être due à l’injection intramusculaire de vaccins contenant de l’aluminium. Reste cependant à répondre à un certain nombre de questions importantes, notamment si:

    • la MMF peut uniquement être attribuée à des vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium, ou aussi à ceux contenant du phosphate d’aluminium;
    • on peut mettre en évidence l’antigène vaccinal dans le muscle lésé;
    • les biopsies du deltoïde ont été pratiquées au point d’injection (encore qu’il soit probable que tel ait été le cas la plupart du temps étant donné que la pratique recommandée consiste à vacciner et à effectuer les biopsies sur le bras non dominant).

    D’un point de vue épidémiologique, la MMF n’a (à quelques exceptions près) été observée qu’en France. Elle a été mise en évidence pour la première fois en 1993 et se retrouve de plus en plus fréquemment depuis lors.

    Discussion

    On n’a pas élucidé les mécanismes qui seraient à l’origine de la lésion MMF locale et de sa persistance. Une hypothèse plausible serait l’existence d’un groupe de sujets chez lesquels l’élimination de l’aluminium présent dans le deltoïde se ferait difficilement. On ne sait pas encore si ce phénomène correspond à une dysfonction des macrophages qui serait génétique ou acquise, ou s’il s’agit de la queue de la distribution normale qui décrit la cinétique d’élimination de l’aluminium et la réponse tissulaire locale à cet élément dans la population générale.

    Une explication plausible de la raison pour laquelle la MMF n’a été observée qu’en France et pas ailleurs serait que les biopsies sont pratiquées d’une façon différente. L’argument est le suivant: en France, on pratique des biopsies du deltoïde alors que dans beaucoup d’autres pays on a plutôt tendance à choisir un autre muscle. Par ailleurs, le mode de préparation des vaccins contenant de l’aluminium rend improbable un problème pharmaceutique d’origine locale.

    L’accroissement du nombre de cas observés en France au cours des dernières années peut aussi s’expliquer par le changement de la voie d’administration du vaccin, la voie intramusculaire étant désormais préférée à la voie sous-cutanée, ou par l’introduction du vaccin contre l’hépatite B à l’intérieur d’une population d’adultes neufs chez lesquels la réaction inflammatoire locale est vraisemblablement plus forte qu’après des vaccinations de rappel. Quoi qu’il en soit, le vaccin contre l’hépatite B a également été administré à des adultes dans d’autres pays sans qu’on ait mis en évidence une MMF. De plus, une MMF a également été observée chez des Français adultes après des rappels de vaccination antitétanique et DT mais pas dans d’autres pays où ces vaccins sont pourtant largement utilisés. Enfin, la forte augmentation du nombre de cas observés depuis 1998 pourrait également être due à une augmentation du taux de dépistage.

    En ce qui concerne la possibilité d’un lien entre la lésion MMF locale et une maladie générale, on a fait les observations suivantes.

    Des lésions de type MMF ont été mises en évidence par biopsie du deltoïde pratiquée dans un but exploratoire sur des malades souffrant de myalgie diffuse, arthralgie ou faiblesse musculaire et qui avaient reçu quelques mois à quelques années auparavant un vaccin contenant de l’aluminium. Chez une certaine proportion d’entre eux, on a également relevé les signes d’une affection autoimmune concomitante. Il est vivement recommandé d’entreprendre des recherches sur une association éventuelle avec une maladie autoimmune.

    A l’heure actuelle, et compte tenu des limites des connaissances actuelles, la MMF ne se rattache pas à des pathologies telles que la myopathie inflammatoire, la dermatomyosite, la polymyosite, la myosite à inclusions et la fasciite à éosinophiles. Les données actuelles n’établissent ni n’excluent la possibilité d’une maladie générale affectant d’autres organes.

    La petite taille de l’échantillon sur lequel se fondent ces observations, jointe à l’absence de données concernant la prévalence de lésions MMF locales dans la population générale après une vaccination, rend difficile une évaluation des liens potentiels entre ces lésions et une maladie générale. Il faudrait qu’un ensemble plus spécifique de critères et de définitions soit déterminé par des études épidémiologiques ultérieures destinées à établir s’il existe une association entre des lésions MMF locales et tout symptôme ou affection générale. Il existe de nombreux mécanismes immunitaires qui pourraient être à l’origine du passage d’une immunoréaction locale à une affection généralisée et la question doit être étudiée plus à fond.

    Recommandations du Comité

    • Compte tenu des données disponibles, des opinions exprimées et des débats qui se sont ensuivis, le Comité estime ne disposer à l’heure actuelle d’aucun élément qui justifierait de recommander la modification des pratiques vaccinatoires (choix du vaccin, calendrier de vaccination, modes d’administration ou information) dans le cas de vaccins contenant de l’aluminium.
    • Pour mieux saisir la nature de la MMF, le Comité recommande vivement d’entreprendre des recherches afin d’évaluer les aspects cliniques, épidémiologiques, immunologiques et biologiques de cette pathologie.

    Les observations du Comité seront publiées sans délai dans le Relevé épidémiologique hebdomadaire.

    http://www.who.int/vaccine_safety/reports/october_1999/fr/index.html

     

    http://www.invs.sante.fr/publications/myofasciite/rapport_myofasciite.pdf

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire

  • Le Gulf Stream détraqué...

    Quelques liens documentaires pour mieux comprendre ce qui ne tourne pas rond au dessus de nos têtes !

     

    Le Gulf Stream menacé à court terme ?http://www.bioaddict.fr/article/le-gulf-stream-menace-a-court-terme-a1554p1.html

     

    Anomalie des courants marins dans l’océan Atlantique nord

    jeudi 27 octobre 2011

    Le Gulf Stream quand tout va bien!

     

    Gulf stream et l'europe

    http://www.dailymotion.com/video/x10um0_gulf-stream-et-l-europe_news

     

    L'europe sans Gulf Stream !

    http://www.wat.tv/video/europe-sans-gulf-stream-1041x_2heu9_.html

     

    Alerte orange Gulf stream

    http://dai.ly/hYfDa3

    Les Grands Reportages: Et si le Gulf Stream s'arrêtait?

    http://video.google.com/videoplay?docid=-7270199499848521147#

     

    L'assombrissement de la Terre

    http://video.google.com/videoplay?docid=-1374193107778987968#

     

    Coup de froid sur la planète 1/3

    http://dai.ly/ac2rr8

    Coup de froid sur la planète 2/3

    http://dai.ly/blZO1j

    Coup de froid sur la planète 3/3

    http://dai.ly/coqa8w

     

    Le.jour.ou.la.terre.faillit.disparaitre_VF.avi

    http://video.google.com/videoplay?docid=-790527655503883980&hl=fr&emb=1

     

    Il y a 11 700 ans, en l'espace d'une année, le climat a totalement basculé. Etrange...
    http://wikistrike.over-blog.com/article-une-etude-meconnue-de-2008-realisee-par-des-chercheurs-internationaux-du-cnrs-devoile-l-impensable-84887350.html

     

    gulf stream ECJS anthony (résumé clair et imagé!)

    http://www.youtube.com/watch?v=jb8JNRS8Hco

     

    Et si nous nous trompions sur la finalité du réchauffement

    http://www.youtube.com/watch?v=H-mp-vDRzus

     

    Le Grand Refroidissement

    http://www.youtube.com/watch?v=6n-U03PYh_E

     

    La Terre de Notre Futur

    http://www.youtube.com/watch?v=Std-oB8uMrg

     

    Une vraie vérité qui dérange !

    http://dai.ly/h46iv2

     

     

    Climat mondial : comment la catastrophe de Bp risque de provoquer une future glaciation

    http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8769

     

    L’Europe doit s’attendre au pire hiver depuis 1000 ans, selon des météorologues polonais

    http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8818

     

    La méditerranée sous la neige, bientôt !

    http://newsoftomorrow.org/spip.php?article6648

     

      

     

    Vous voulez voir vraiment ce qui se passe déjà???

    Hop, c'est par là...

    http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?rubrique3

     

    Climat - Environnement

    Articles de cette rubrique

    La vague de froid cause de gros problèmes en Europe, 11 morts en Pologne (Climat - Environnement)

    jeudi 2 décembre 2010 par Zone-7

     

    (Source : Météo-World) Les chutes de neige lourdes et le froid très vif ont déjà fait au moins 11 morts en Pologne, tandis qu’en Allemagne, en Belgique, au Royaume-Uni, au Portugal et en Espagne, on signalait de gros problèmes au niveau du trafic routier et aérien. En Pologne : Au moins 11 (...) > suite

     

    En bref : Neige en Grande-Bretagne : Au moins 150 écoles fermées (Climat - Environnement)

    vendredi 26 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : rtbf) De fortes chutes de neige en Grande-Bretagne, les plus précoces depuis 17 ans, perturbaient vendredi la circulation et ont provoqué la fermeture, complète ou partielle, de nombreuses écoles dans le nord du pays, selon des sources officielles. En Ecosse (nord), la région la plus (...) > suite

     

    Dubrownik submergée par des pluies torrentielles (Climat - Environnement)

    mardi 23 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : Meteo World) Une dépression actuellement centrée sur le nord de l’Italie, provoque la remontée de fortes pluies orageuses sur le centre et le sud de l’Italie, la Sardaigne, la Serbie et Monténégro, ainsi que la Croatie. La ville de Dubrownik (Croatie) a été touchée par un épisode de pluies (...) > suite

     

    Pluies : bien plus que la normale (Climat - Environnement)

    mardi 23 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : sudouest) L’automne 2010 s’annonce comme l’un des plus pluvieux de la décennie mais cela n’est pas un handicap, c’est plutôt une bonne chose. Comme en témoigne Régis Lavielle de la Rivière du réseau Demeter (Développements météorologiques en espace rural) qui gère 129 stations météo en Gironde : (...) > suite

     

    Le Jet Stream détraqué ! "D’importantes" chutes de neige prévues en Europe (Climat - Environnement)

    mardi 23 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : Dailymail via SOTT) Des températures allant jusqu’à -10 vont faire frissonner la Grande-Bretagne cette semaine, avec "d’importantes" chutes de neige sur le pays, a averti le Met Office. Le mercure n’était pas tombé aussi bas depuis mars - et c’était au sommet d’une montagne écossaise. Le (...) > suite

     

    Une trombe observée au large de Bastia (Climat - Environnement)

    lundi 22 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : Meteo france, 18 novembre 2010) Observation d’une trombe au travers des jumelles de surveillance du sémaphore de Sagro (grossissement 25 fois). Ces photos ont été prises le mardi 16 novembre 2010 vers 08h00 locale par les guetteurs sémaphoristes de Cap Sagro (Haute-Corse). La trombe (...) > suite

     

    Inondations en Belgique (Climat - Environnement)

    samedi 13 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : 20 minutes) Plusieurs régions et communes de Belgique ont déclenché des plans catastrophe samedi, après les inondations qui frappent le pays. Des pluies très abondantes ont provoqué inondations et coulées de boue ainsi qu’une hausse inquiétante du niveau des cours d’eau dans une grande (...) > suite

     

    Alerte aux fortes vagues sur le littoral girondin (Climat - Environnement)

    lundi 8 novembre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : Yahoo) Météo France a lancé ce dimanche en fin d’après-midi un avis de très fortes vagues et une élévation temporaire du niveau de la mer pouvant submerger certaines parties du littoral girondin de lundi après-midi à mercredi matin, a annoncé la préfecture dans un communiqué. « Des vagues de (...) > suite

     

    Etats-Unis : Une tempête géante ravage le Mid-West (Climat - Environnement)

    mercredi 27 octobre 2010 par NewsOfTomorrow

     

    (Source : BBC via SOTT.net) Le Midwest est frappé par de fortes pluies ainsi que de forts vents d’une tempête que certains prévisionnistes ont comparé à un ouragan de catégorie 3. Les prévisionnistes ont averti que les habitants de l’Illinois devaient s’attendre à la plus puissante tempête dans la (...) > suite

     

    Thaïlande : le bilan des inondations s’élève à 56 morts (Climat - Environnement)

    mardi 26 octobre 2010 par NewsOfTomorrow

    (Source : xinhua) Le nombre total de personnes tuées dans les inondations en Thaïlande s’est élévé mardi à 56, avec près de la moitié des provinces du pays touchées par les pires inondations provoquées par les fortes pluies de mousson qui ont débuté il y a deux semaines. Le ministre thaïlandais de la (...)

     

      

     

    Ca suffit pas ???

     

    Le débit du Gulf Stream ralentit, vers un refroidissement en Europe ?

    https://www.facebook.com/note.php?note_id=171720736197367&id=100001257188546

    Changement climatique en Europe du Nord - Extrait du journal Le Monde

    https://www.facebook.com/notes/bardou-luc/changement-climatique-en-europe-du-nord-extrait-du-journal-le-monde/10150093507042644

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Cet article est à titre informatif exclusivement, il n'incite en aucun cas à l'usage de produit stupéfiant. Consultez la législation en viguer dans votre pays.

    TDAH et Cannabis
    David Bearman, M.D., Californie (USA)
    http://davidbearmanmd.com/
    Traduction autorisée par l’auteur
    http://mcforadhd.free.fr/


      

    Il y a une nouvelle histoire remarquable dans les soins de santé : le Cannabis (Marijuana) pourrait être adapté pour le Trouble Déficitaire de l’Attention / Hyperactivité (TDA ou TDAH). Cette idée a récemment attiré l’attention de la chaine de télévision FOX News qui a rapporté le témoignage du Dr Pédiatre Claudia Jensen : « … les cannabinoïdes [marijuana] sont une alternative viable pour le traitement des adolescents TDA et TDAH … » .

    Le Cannabis et les Cannabinoïdes traitent effectivement le TDAH avec moins d’effets secondaires que les traitements traditionnels (e.g. amphétamines, Ritalin®, Adderal®, Strattera®). Avec l’explosion actuelle des coûts de santé, nous avons ici un traitement qui ne requiert ni pharmacie, ni assurance santé.

    Vous dites que votre enfant de 15 ans n’est pas attentif à l’école, qu’il est agité en classe, parfois perturbateur, et qu’il arrive tout juste à passer les classes scolaires. Mais attendez. Récemment, il va beaucoup mieux. Il fait mieux ses devoirs, et ses notes sont passées de C à A ou B.

    Peut-être avons-nous besoin de regarder plus en détail pour voir s’il se passe quelque chose de significatif. Peut être que les scientifiques qui étudient le système endocannabinoïde, ainsi que les cliniciens qui traitent leurs patients avec le cannabis, les cannabinoïdes et les bloqueurs d’anandamide, ont raison : il traite réellement son TDAH. Votre première réaction est de rejeter cette idée. Mais lisez la suite et vous serez moins vite influencé par 90 ans de propagande non scientifique.

    Le TDAH est un problème coûteux qui tracasse les institutions légales, éducatrices et médicales de santé mentale . Le TDAH affecte 3 à 5% des américains . C’est l’un des désordres psychiatriques les plus communs dans l’enfance et à l’âge adulte, avec des conséquences tragiques fréquentes sur les vies personnelles et professionnelles . Le TDAH est caractérisé par une altération persistante de l’attention (ou concentration) et / ou des symptômes d’hyperactivité et d’impulsivité .

    La prépondérance des études montre que l’usage de cannabis est très largement répandu parmi les souffrants TDAH, soit comme une automédication, soit comme récréation . Alors que certains considèrent avec préjugés que le cannabis exacerbe le TDAH, pratiquement tous les cannabinologistes californiens ont la conviction que le cannabis et les cannabinoïdes ont amélioré significativement les vies des souffrants TDAH, avec moins d’effets négatifs que les traitements communs aux psychostimulants.

    Maintenant que nous avons compris plus de choses à propos du cerveau, du rôle de la dopamine et du système endocannabinoïque, nous commençons à comprendre comment le cannabis, l’anandamide et le dronabinol (THC) agissent pour libérer la dopamine et diminuer la sur-stimulation dans le cerveau. Mais avant d’aller plus loin, il nous faut reconnaître que les souffrants TDAH réagissent différemment de la population moyenne aux médicaments psychostimulants. Cela a été constaté en 1937 lorsque le Dr Charles Bradley tenta de traiter les premiers cas reconnus de TDAH, appelés alors Dysfonctionnement Minimal du Cerveau (DMC), Hyperkinesis, …. Après avoir essayé des sédatifs, ses patients revenaient encore plus hyperactifs. Face à cette réaction paradoxale, il essaya des amphétamines qui les calmèrent.

    A partir de là, les stimulants (drogues sympathomimétiques) sont devenus le pilier pour traiter le TDAH. Il est apparu qu’ils agissent par fixation des transporteurs dopamine libérant ainsi de la dopamine, préalablement liée aux transporteurs dopamine, pour assurer l’inhibition rétrograde. La dopamine agit essentiellement comme un amortisseur de la neurotransmission en dépolarisant le neurone qui l’a libérée. Le problème principal des stimulants est qu’ils s’accompagnent d’effets secondaires inacceptables de nervosité, d’anxiété, de difficultés de sommeil, de réduction d’appétit et d’une plus grande propension à se mettre en colère rapidement.

    Il apparait que le cannabis libère également la dopamine mais avec des effets secondaires bénins. Notant le meilleur profil d’effets secondaires du cannabis, Francis L. Young, Juge à la cour administrative de la FDA (Administration des Médicaments et des Aliments), déclara en 1998 :

    « Pratiquement tous les médicaments présentent des effets toxiques et potentiellement mortels. Mais le Cannabis n’est pas comme ces substances. Il n’existe pas de cas dans la littérature médicale prouvant de manière documentée un décès induit par le cannabis … En termes strictement médicaux, le cannabis est beaucoup plus sur que beaucoup d’aliments que nous consommons…. Le cannabis, sous sa forme naturelle, est l’une des substances thérapeutiques actives la plus sûre connue de l’homme.»

    Le traitement du TDAH au cannabis montre souvent des résultats spectaculaires. Les patients rapportent des notes allant de C à A et B. Dr David Bearman, un médecin pratiquant à Santa Barbara (Californie), rapporte des commentaires de patients : « j’ai réussi mon Académie Maritime parce que je fumais du cannabis », « j’ai eu mon doctorat grâce au cannabis. » Pratiquement universellement, les patients TDAH qui utilisent le cannabis thérapeutique rapportent que cela les aide à être concentré en lisant, à focaliser leur attention plutôt que de penser à plusieurs idées en même temps, à rester attentifs et à faire leurs devoirs.

    Science, Cannabis et Cerveau

    Dans les années 40, le tétrahydrocannabinol (THC) a été identifié comme le constituant psycho-actif principal du cannabis. En 1964, le scientifique israélien Raphael Mechulam isola le principe pharmacologique le plus actif des 483 composants chimiques du cannabis, le delta 9 THC. Bien que les effets psycho actifs du cannabis soient attribuables principalement au THC , on pense que d’autres cannabinoïdes, flavonoïdes et terpenoïdes, également contenus dans le cannabis, peuvent également présenter des vertus thérapeutiques.

    Dans les années 90, les scientifiques ont découvert un grand nombre de récepteurs du THC dans le système nerveux central des mammifères (e.g., vaches, dauphins, humains). Ce système est maintenant connu sous le nom de Système Endocannabinoïque et constitue une part importante du cerveau humain. Son importance a été acceptée lorsque nous avons appris que les récepteurs du THC existaient en nombre beaucoup plus important que les récepteurs ciblés par les centaines de médicaments de la médecine moderne . Cela initia un large intérêt médical pour le cannabis ; de nouvelles découvertes apparaissent pratiquement chaque jour dans la littérature médicale .

    Les premiers récepteurs cannabinoïdes du cerveau humain ont été nommés CB1 et CB2. Ils sont présents en grande quantité dans le système limbique, le midbrain et la partie pro encéphalique du cortex cérébral. Ensuite il a été découvert que le cerveau humain produit plus de 60 endocannabinoïdes (substances se rapprochant du THC) . Les endocannabinoïdes exercent principalement leur action pharmacologique par activation des récepteurs CB1 du cerveau . Alors que le cerveau produit ses propres cannabinoïdes, fumer du cannabis stimule également le système endocannabinoïque du corps humain.

    70% du travail du cerveau consiste à inhiber les entrées sensorielles des 30% restants

    Les symptômes typiques du TDAH incluent la distractibilité. La théorie la plus acceptée à propos du TDAH réside dans le fait qu’environ 70% de la fonction du cerveau est de réguler les entrées pour les autres 30%. La cause du TDAH est probablement une capacité réduite à supprimer les entrées sensorielles internes et externes. Dans le principe, le cerveau est envahi par trop d’informations qui viennent trop vite. Dans le cas du TDAH, le cerveau est trop chargé et trop conscient par rapport aux expériences quotidiennes. Ce phénomène est causé par un dysfonctionnement du système dopaminergique.

    La Dopamine, un neurotransmetteur du cerveau, est le suppresseur clé des stimuli dans le cerveau. Elle agit par un mécanisme unique : l’inhibition rétrograde. Par l’effet dépolarisant de la dopamine sur le neurone qui l’a libérée, celui-ci devient plus difficile à stimuler. La vitesse et la fréquence des signaux neuronaux sont ainsi réduites. Sans dopamine, nous ne pourrions pas nous focaliser, nous concentrer et distinguer les informations importantes (un chef donnant des instructions importantes) des informations moins importantes (e.g. rêvasseries éveillées). Les personnes atteintes de TDAH ont des irrégularités significatives dans leur système de gestion de la dopamine .

    Au début des années 90, les chercheurs ont découvert comment le médicament Ritalin®, le traitement populaire du TDAH, agit ; il augmente les niveaux de dopamine . L’histoire se serait arrêtée là si la Ritalin® n’avait pas de risques potentiels de causer des dommages permanents au cerveau et des problèmes psychiatriques . Même certains médicaments non stimulants peuvent engendrer de sérieux problèmes psychiatriques .

    Depuis que le système endocannabinoïque a été découvert, beaucoup d’études montrent que le cannabis module également le système dopaminergique et est ainsi un traitement potentiel pour le TDAH. Comme il est relaté dans les témoignages suivants de médecins, le cannabis est plus sûr, moins cher, et est un traitement plus efficace que n’importe quel autre produit proposé par les compagnies pharmaceutiques.

    Avis de Médecins

    Dr. Claudia Jensen

    Dr Claudia Jensen, Pédiatre californienne de 49 ans et mère de 2 jeunes filles, a déclaré que le cannabis pourrait être le meilleur traitement pour le TDAH . Dans une interview récente avec la chaine de télévision FOX News, elle a déclaré :

    « Pourquoi quelqu’un voudrait donner à son enfant des pilules qui coûtent chères … avec des effets secondaires inacceptables, lorsque il ou elle pourrait simplement aller dans le jardin, prendre quelques feuilles et faire un thé … ? »

    « Les cannabinoïdes sont une alternative viable pour le traitement d’adolescents atteints de TDA et TDAH … j’ai beaucoup de patients adultes qui ne jurent que par ça . »

    Dans un témoignage en 2004, avant la Réforme du Gouvernement sur la Marijuana (Government Reform on Marijuana) de la Maison Blanche (House Committee), le Dr Jensen a discuté des recommandations pratiques de cannabis pour les patients atteints de TDAH (rapport de 11 pages). Ce témoignage regroupe des centaines de publications scientifiques sur la sureté et l’efficacité du cannabis qui ont établi une forte conviction scientifique ; le cannabis est un médicament important.

    Ses raisons pour considérer le cannabis comme traitement du TDAH :

    « Les autres drogues légales utilisées pour traiter le TDA sont une aide pour beaucoup de patients, mais elles ont aussi des effets secondaires … 5 médicaments sur 9 utilisés pour le traitement du TDA dans notre pays n’ont pas été testés scientifiquement … pour les enfants TDA. Ce sont des médicaments pour la dépression et l’hypertension … Parmi tous les médicaments utilisés pour traiter le TDA, le cannabis est celui qui présente le moins d’effets secondaires sérieux »

    Son explication selon laquelle le cannabis est rejeté par les compagnies pharmaceutiques :

    « Le vrai problème d’autoriser les patients à utiliser le cannabis comme médicament est économique … Si le cannabis était autorisé seulement pour le marché du TDA / TDAH, cela impacterait significativement les ventes annuelles d’un Milliard de Dollars (1M$) des produits pharmaceutiques traditionnels pour le TDA … »

    Dr. Tom O’Connell

    Dr Tom O’Connell, un chirurgien retraité californien de la Bay Area, étudie avec des patients qui s’auto-médiquent avec du cannabis. Dans le Journal du Cannabis dans les Pratiques Cliniques (O’Shaughnessy’s – Spring 2005), le Dr O’Connell résume son étude portant sur 790 patients :

    « … Il y a un constat universel parmi les demandeurs qui ont été diagnostiqué et/ou traités pour le TDA : le cannabis les aide à être et rester focalisé … »

    Le Dr O’Connell déclare qu’il y a un argument fort pour promouvoir le cannabis pour le TDAH ; il est plus sûr que les autres médicaments. Dans une déclaration à la chaîne de télévision FOX News, il indiqua :

    « … Bien que cela choque les sagesses conventionnelles, il est néanmoins vrai que le cannabis est beaucoup plus sur et plus efficace que les substances actuellement recommandées pour le traitement du TDA / TDAH … »

    Le Cannabis est il sûr ?

    La prépondérance des évidences scientifiques montrent que le cannabis est exceptionnellement sûr, pour les adolescents et les adultes. Les articles de Leo Hollister « Aspects Sanitaires du Cannabis » (1986) et « Aspects Sanitaires du Cannabis Revisités » (1998) sont largement considérés comme des recueils qui font autorité dans la sûreté sanitaire du cannabis . L’opinion de Hollister est bien résumée dans son article de 1986 :

    « … on est obligé de conclure que le cannabis est relativement sûr … les études de toxicité du cannabis et de ses constituants amènent à une conclusion inévitable que c’est l’un des médicaments les plus sûr jamais étudié de cette manière. »

    Parmi les nombreux articles qui citent les travaux d’Hollister, il y a un thème commun :

    « …le THC doit être considéré comme un médicament très sûr à la fois pour usage intensif ou long terme. »

    « …bien qu’il y ai eu beaucoup de rumeurs sur des dommages irréversibles dans les hautes fonctions du cerveau à cause d’un usage de cannabis à long terme , les résultats des nombreuses études scientifiques ont échoué à le prouver … Sur la base des 3 meilleures études réalisées (Schwartz, Pope and Block et. al.) les effets cognitifs résiduels sont rarement observés et si présents, sont de nature légère. »

    Le juge Young des lois administratives de la FDA (Administration des Médicaments et des Aliments) n’aurait pas décrit plus clairement la sûreté du cannabis. Il déclara, après deux ans d’audience sur le reclassement du cannabis par la FDA, que le cannabis est l’un des agents thérapeutiques les plus sûrs connu de l’homme. D’après lui, le cannabis est plus sûr que de manger 10 pommes de terre. Sa recommandation de reclassement du cannabis au rang II avait été refusée par l’administration du Président Bush et le Directeur de la FDA John Lawn.

    Les Cannabinoïdes offrent des possibilités excitantes

    Avec la découverte des récepteurs cannabinoïques et une meilleure compréhension du système endocannabinoïque, nous sommes à l’aurore d’une nouvelle aire de connaissance du fonctionnement du cerveau et de nouvelles solutions à appliquer. Il est temps non seulement de créer de nouveaux agonistes ou antagonistes, basés sur les molécules cannabinoïdes, mais aussi de reconnaître le rôle médical que joue le cannabis , non seulement dans le traitement du TDAH, mais aussi du Syndrôme de Tourette, de l’Epilepsie, des Troubles Post-traumatiques, des Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) et des attaques de paniques. Nous avons besoin aux Etats-Unis de réévaluer notre attitude au regard des phyto-médicaments.

    Il y a un mouvement contemporain selon lequel les médecins pratiquent une médecine basée sur des preuves. Cela est plus facile à dire qu’à faire. Comme le montre l’exemple du Vioxx®, l’accord de mise sur le marché de la FDA ne garantit pas que des effets secondaires ne puissent pas être découverts par la suite. Nous avons besoin d’adopter certains principes Européens selon lesquels l’usage de préparations naturelles aux herbes (comme c’est le cas pour le cannabis) depuis des centaines d’années forme une sorte de certitude. Dans certains cas, ces remèdes traditionnels, parfois ridiculisés, présentent moins d’effets secondaires et agissent aussi bien, voire mieux, que les médicaments mono-chimiques approuvés par la FDA.

    Disons-le : toutes les recherches citées ne sont pas toutes réalisées par les gouvernements fédéraux et d’état. La plupart des études cliniques sont réalisées par des compagnies pharmaceutiques et ne sont donc pas impartiales. Nous dépendons plus de l’expertise de la FDA pour séparer le bon grain de l’ivraie. La FDA doit prêter attention à la science et à la méthodologie des études qui lui sont soumises. Dans la mesure du possible, elle devrait avoir accès aux études qui ne lui ont pas été soumises car les compagnies pharmaceutiques sont connues pour fournir des recherches biaisées, basées sur des conflits financiers et des préjugés . Les médicaments privés et coûteux sont lourdement recommandés alors que les remèdes naturels aux herbes, qui coûtent relativement peu au patient, ont été mis de côté par la communauté médicale.

    Il y a six ans, à la conférence annuelle du CMA, les médecins ont été vivement incités à être conscients de l’usage des patients d’une Médecine Alternative et Complémentaire. Plus de 60% des patients utilisent la MAC, mais au moins 40% ne partagent pas cela avec leur médecin. L’une des herbes utilisées par les patients est le cannabis et l’une des conditions pour laquelle les patients l’ont trouvé utile est le TDAH.

    Médecins, juges et chercheurs commencent à reconnaître la valeur médicale du cannabis. Dans le cas du traitement du TDAH, le cannabis et les cannabinoïdes sont souvent une alternative efficace et plus sûre que les médicaments sympathomimétiques prescrits. Ces stimulants présentent un profil d’effets secondaires inacceptables.

    Si vous voulez parler du cannabis, choisissez un médecin qui a de l’expérience avec le cannabis. De plus en plus de médecins deviennent conscients de la valeur médicinale du cannabis. UCSD est le siège des Centres de Recherche Californiens sur le Cannabis. Il a géré 18 études cliniques sur l’usage, sous forme fumée, du cannabis médical approuvées par la FDA. Ces études ont montré de bons résultats et ont été présentées dans des congrès de médecine. Bayer a déposé une marque commerciale Sativex® et commercialise cette teinture de cannabis au Canada. La Société Internationale de Recherche sur le Cannabis (ICRS) organise des conférences annuelles pour discuter des progrès réalisés sur la connaissance de l’action du cannabis qui apparaît parfois presque comme magique.

    1 http://www.foxnews.com/story/0,2933,117541,00.html
    2 Diagnosis and Treatment of Attention Deficit Hyperactivity Disorder. NIH Consensus Statement Online 1998 Nov 16-18,
    16(2):1-37
    3 National Institutes of Health Consensus Development Conference Statement. Diagnosis of attention-deficit/hyperactivity
    disorder (ADHD). Journal of the American Academy of Child and Adolescent psychiatry, 2000;39(2):182-93
    4 American Psychiatric Association (2000) Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 4th edition, Washington, DC :
    APA
    5 Murphy K. Psychosocial Treatments for ADHD in Teens and Adults : a practice-friendly review. J clinical Psychology. 2005;
    61(5):607-19
    6 Kutcher S. et al. International Consensus Statement on Attention Deficit / hyperactivity Disorder (Adhd) and Disruptive
    Behaviour Disorders (Dbds) : Clinical Implications and Treatment Practice Suggestions. Eur Neuropsychopharmacol.
    2004;14(1):11-28
    7 Dodson Ww. Pharmacotherapy of Adult Adhd. J clin Psychol. 2005;61(5):589-606

    8 Dodson Ww. Pharmacotherapy of Adult Adhd. J clin Psychol. 2005;61(5):589-606
    9 Pertwee Rg. The Central Neuropharmacology of Psychotropic Cannabinoids. Pharmacol. Ther. 1988; 36(2-3):189-261
    10 Herkenham M et. al. Cannabinoid Receptor Localization in Brain [Journal article]. Proc Natl Acad Sci U S A 1990 ;
    87(5) :1932-6

    11 De Petrocellis L et. al. The Endocannabinoid System : a General View and Latest Additions [Journal article]. Br J Pharmacol.
    2004; 141(5):765-74
    12 Murillo-Rodriguez Eric, et. al. Anandamide Modulates Sleep and Memory in Rats. Brain Research. 1998;812(1-2):270-274
    13 Pertwee Rg. Pharmacology of Cannabinoid CB1 and CB2 receptors. Pharmacol Ther. 1997; 74(2):129-80
    14 Oades, et. al., Dev Sci. 2005 Mar ;8(2) :122-31
    15 Nora D. Volkow et. al. The Journal of Neuroscience 2001 ;21 :RC121.
    16 Moll GH et. al. J Child Adolesc Psychopharmacol 2001 Spring ;11(1) :15-24
    17 William Carlezon et. al. Biol Psychiatry. 2003 Dec 15 ;54(12) :1330-7
    18 Food and Drug Administration. Public Health Advisory Suicidal Thinking in Children and Adolescents Being Treated With
    Stratera (Atomoxetine). 29 sept 2005.
    19 Rodriguez De Fonseca F et. al. Role of the Endogenous Cannabinoid System as a Modulator of Dopamine Transmission:
    Implication for Parkinson’s Disease and Schizophrenia. Neurotox Res. 2001;3(1):23-25.

    20 http://www.foxnews.com/story/0,2933,117541,00.html
    21 http://reform.house.gov/UploadedFiles/Claudia%20Jensen.pdfx

    22 Mechoulam R and Golan D Comment on « health Aspects of Cannabis: Revisited ». Int J Neuropsychopharmcol. 1998;1(1):83-
    85
    23 Hollister Le. Health Aspects of Cannabis. Pharmacol rev. 1986;38(1):1-20.
    24 Iversen, Leslie L. the science of marijuana, p. 181 Oxford University Press, 2000
    25 Iversen, Leslie L. the science of marijuana, p. 97 Oxford University Press, 2000

    26 John P. A. Ioannidis. Why Most Published Research Findings Are False. PLoS Med 2005 August; 2(8):el24.
    27 John P. A. Ioannidis, MD . Contradicted and Initially Stronger Effects in Highly Cited Clinical Research. JAMA.
    2005;294:218-228.

     http://mcforadhd.free.fr/TDAH%20Cannabis%20Dr%20Bearman%20Francais.pdf




    Symptômes Chroniques du TDA / Hyperactivité et Cannabinoïdes

    Les personnes atteintes de TDAH, en fonction de leurs propres hypersensibilités et de leur parcours de vie, emotionnel notamment, développent des symptômes chroniques.

    Certains patients traités avec des cannabinoides (de synthèse ou phyto) ont témoigné des améliorations, parfois très significatives, concernant les symptômes suivants. Pour chaque symptôme, une brève explication scientifique est donnée pour décrire l'origine de l'effet positif constaté par les patients :

    - Hyper-impulsivité (agitation, stress d'adrenaline, syndrôme des jambes folles) : Le THC, constituant phyto-cannabinoïque psychoactif, est un agoniste de l'endocannabinoïde amandamine. Il se lie aux récepteurs CB1 présents en très grand nombre dans le cerveau. Il stimule le signal rétrograde inhibiteur dans les synapses. Les conséquences sont une modulation et une réduction de l’activité neuronal, ayant ainsi un effet calmant puissant. Ce phénomène a été confirmé en laboratoire sur des souris (2003).

    - Anxiété incluant douleurs intestinales dûes à des situations stressantes : le THC seul est anxiolytique à faibles doses, mais anxiogène à hautes doses, en fonction des individus. Un autre phyto-cannabinoïdes, le CBD, le cannabidiol, agit de manière complémentaire au THC. Le CBD se lie aux récepteurs cannabinoïques CB2 qui sont impliqués dans la modulation du système neuro-immunitaire. Le CBD est principalement présent dans le chanvre industriel et dans le hachisch. Il est largement connu comme agent anti-anxiété. Il a également l'avantage de réduire l'effet psychoactif du THC. Les patients hyperactifs rapportent des effets positifs sur les douleurs intestinales (stress) et l’état d’anxiété général lorsque le CBD est ajouté au THC.

    - Peurs / Angoisses / crises de Panique : Les récepteurs CB1 sont impliqués dans la plasticité synaptique et les réponses émotionnelles aux stimuli exterieurs. Il est prouvé sur des souris que le THC aide au processus de déconditionnement. Les souris déficientes en récepteurs CB1 présentent des comportements impulsifs anormaux et continuent d’être craintives en comparaison des souris normales.

    - Hypersensibilité en situation émotionnelle ou stressante : Même effet du THC/CBD que sur l’anxiété et les peurs.

    - Manque d'attention, distractibilité : Le THC ralentit l’hyperactivité neuronales des cerveaux hyperactifs, ce qui aide celui-ci à rester focalisé et le patient reste attentif. En 2008, une étude clinique allemande expose les résultats d’un test de performance sur un patient Hyperactif au volant.

    - Insomnie : Le THC ralentit le cerveau et aide à améliorer la qualité du sommeil.

    - Tendance à la dépression : Le THC se lie aux récepteurs CB1 qui ont aussi été identifié comme ayant un effet sur la libération de sérotonine dans les neurones pré-synaptiques. La serotonine est l’agent anti-depresseur naturel du cerveau (Etude du Dr Blass, Autriche).

    - Tendances suicidaires et idées morbides

    - Tendances alcooliques : Tous les patients hyperactifs qui ont déjà été alcoolique témoignent de l’efficacité du cannabis comme substitut. Le cannabis permet de réduire les pulsions internes.

    - Tendances aux abus de drogues (cocaïne, héroïne, ...) : voir tendances alcooliques.


    - TOC (Troubles Obsessifs Compulsifs) - Troubles de l'humeur - Troubles de la Personnalité - Troubles Post-Traumatiques

    - Tics : Le THC est un agent anti-tic comme cela est prouvé pour le syndrome de Tourette, toujours grâce à son action sur les récepteurs CB1.


    - Hyperactivité sexuelle / Manies des jeux / Manie dépensière ....
    http://mcforadhd.free.fr/s ymptomsfr.html

    http://fr.wikipedia.org/wi ki/Cannabis_m%C3%A9dical
    http://www.cannabis-med.or g/index.php?lng=fr
    http://www.cannabis-med.or g/index.php?tpl=page&id=21 &lng=fr
    http://www.creapharma.ch/c annabis.htm
    http://www.cannabisplanet. tv/alliances.html

    "Médicalement, il semble avoir des effets analgésiques. Il permettrait de réduire la taille des tumeurs cancéreuses" source (http://fr.wikipedia.org/wi ki/THC)

    Marijuana thérapeutique : un traitement intéressant pour l'autisme ?
    http://www.autism.com/tran _fr_medicalmarijuana.asp

    Cannabis: A Treatment For Autism
    http://www.youtube.com/wat ch?v=SEuUAk7Ug1I

    MEDICAL MARIJUANA TO MANAGE AUTISM IN CHILDREN
    http://www.youtube.com/wat ch?v=DC8li-atTBw

    Medical Marijuana - Autism - Cannabis Medicine
    http://www.youtube.com/wat ch?v=WonHINLQdL8

    Les apports de l'herbe selon Bob Marley
    http://www.youtube.com/wat ch?v=9JOr8zQu2UQ

    Légaliser le cannabis pour sauver la planète...
    http://www.youtube.com/wat ch?v=DGzEQelXASY

    Cannabis =La plante la plus écologique
    http://www.youtube.com/wat ch?v=3w5RkQKbyuU

    Le Cannabis: multi-usages et écologique...
    http://www.mili-terre.com/ article/13/645/le-cannabis -multi-usages-et-ecologiqu e.htm

    Cannabis Médical
    http://www.dailymotion.com /video/x3j7ek_cannabis-med ical_tech

    Et si on légalisait le cannabis ?
    http://mega-streaming.info /video/G3133G82446B/Et-si- on-l%C3%A9galisait-le-cann abis-

    Au Nom du Chanvre
    http://mega-streaming.info /video/KX5H8B98N779/Au-Nom -du-Chanvre-

    Grass - Le Peuple de l'Herbe
    http://mega-streaming.info /video/A5994H4HKNMA/Grass- Le-Peuple-de-l8217Herbe-

    Jack Herer - L'Empereur du Culture Chanvre
    http://mega-streaming.info /video/X135G4GG17B1/Jack-H erer-L8217Empereur-du-Chan vre

    Arte - Drogues et cerveau - Cannabis
    1/5 http://www.youtube.com/wat ch?v=0d5bP-sqyk8
    2/5 http://www.youtube.com/wat ch?v=NuYBqK2DeX4
    3/5 http://www.youtube.com/wat ch?v=ZxJpFbTgLfY
    4/5 http://www.youtube.com/wat ch?v=ayAU3Xkl1lA
    5/5 http://www.youtube.com/wat ch?v=j7bwBkiKJ8c

    Marijuana décriminalisée au Canada pour n'importe quelle raison de santé
    http://www.youtube.com/wat ch?v=2vSjKI-YT58

    Cannabis, une plante entre le bien et le mal
    http://video.google.com/vi deoplay?docid=-36127531512 47080101#
    "Le cannabis Sativa était la plante au multiple usage domestique et même industriel. Elle l’est encore, mais elle n’a pas la place qui lui reviens à cause de son côté psychotrope. Découvrez au travers ce documentaire de Arte l’histoire complète de cette plante qui pourrait aujourd’hui régler bien des problèmes si la majorité des gouvernements de la terre légalisait totalement cette plante pour un usage commercial. Je ne vous en dis pas plus, regardez le documentaire pour connaître tout son histoire méconnu et oublier du grand publique."
    http://cequevousdevezsavoi r.wordpress.com/2011/01/28 /cannabis-une-plante-entre -le-bien-et-le-mal/

    R.I.C (Roots Intention Crew) - "KAïNA" le CLIP
    http://www.dailymotion.com /video/x6ro3y_r-i-c-roots- intention-crew-kaina-le_mu sic

    Pour plus d'infos sur les cannabinoïdes et les carottes, par ici... ;-)
    (CANNABIS MEDICAL les cannabinoïdes et le système des endocannabinoides ..., conspiration...)
    http://www.youtube.com/vie w_play_list?p=DC32002DA0A8 E203
    http://www.dailymotion.com /playlist/x1dc3k_Niels3316 0_k-nabis

    Traduction libre de"the magic weed ,marijuana conspiracy" sur google video
    part/1 http://leweb2zero.tv/video /t3rpr_9845bbe1afeaa6d
    part 2 /http://leweb2zero.tv/video /t3rpr_4645bbe3290f517


    http://mcforadhd.free.fr/TDAH%20Cannabis%20Dr%20Bearman%20Francais.pdf

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Food Inc (2006) Food Inc

    Voici le documentaire sur l’industrie alimentaire qui a secoué les Etats-unis. Food, Inc. décortique les rouages d’une industrie qui altère chaque jour notre environnement et notre santé. Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l’enquête pour savoir comment est fabriqué ce que nous mettons dans nos assiettes. Derrière les étiquettes pastorales de " produits fermiers ", il découvre avec beaucoup de difficulté le tableau bien peu bucolique que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : conditions d’élevage et d’abattage du bétail désastreuses, collusion entre les industriels et les institutions de régulation, absence de scrupules environnementaux, scandales sanitaires... Éleveurs désespérés, experts indépendants, entrepreneurs intègres et défenseurs du droit des consommateurs esquissent, chacun à leur manière, le portrait d’une industrie qui sacrifie la qualité des produits et la santé de ses clients sur l’autel du rendement. 

     

    ou
    http://mega-streaming.info/video/GO3KA5NRY8A2/Les-Alimenteurs-Food-Inc

    Après ce film vous ne regarderez plus votre assiette de la même manière
    Colette Roos, journaliste à Rue89 et France Inter, a écrit au sujet du film : "Un monde où élever des vaches au pré serait un acte de résistance. Où l’on tuerait, dans un abattoir gargantuesque, 30.000 porcs par jour. Où il serait plus difficile d’obtenir le droit de visiter une usine de steaks qu’une centrale atomique. Où se faire servir un hamburger coûterait moins cher qu’acheter une pomme. Où les poulets, élevés dans le noir et engraissés trop vite, ne pourraient plus tenir sur leurs pattes. Un monde où la nourriture rendrait malade et où il serait impossible de savoir de quoi elle est faite. Ce monde, c’est celui que les chaînes de fast-food et, derrière elles, les industriels de l’agroalimentaire ont façonné. C’est celui que le documentariste Robert Kenner a choisi de montrer dans son film à charge, Food, inc. Les acteurs principaux ? Mc Donald’s ou Monsanto, mais aussi Tyson, IBP ou Smithfield, transformateurs de viande qui contrôlent des millions de bêtes et décident du sort de fermiers désespérés et surendettés. Face à ces entreprises qui ruinent l’environnement autant que la santé de leurs clients, nul salut à attendre des instances de régulation américaines, infiltrées par d’ex-cadres de l’agroalimentaire. Le seul mode d’action possible ? S’informer pour comprendre pourquoi les calories les moins chères à l’achat sont aussi les plus coûteuses pour la planète, les humains et les animaux qu’ils exploitent. Un avertissement adressé à ses compatriotes, mais aussi valable ici, où des lobbies travaillent à affaiblir la règlementation européenne et des entreprises, à s’approprier le vivant. Consommateurs, vous êtes ce que vous mangez. Et vous forgez le monde de demain par ce que vous achetez".

     

    Ce que vous allez apprendre avec Food, Inc.

    Dans les années 70, le top 5 des emballeurs de viande bovine contrôlait environ 25% du marché. Aujourd’hui, les 4 plus grosses entreprises détiennent plus de 80% du dit marché. A la même époque, les Etats- Unis comptaient des milliers d’abattoirs produisant la majorité du boeuf vendu. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 13. Un supermarché moderne a, en moyenne, 47 000 produits ; la majorité de ceux-ci a été produit par seulement une poignée d’entreprises de l’agroalimentaire. En 1998, le Département de l’Agriculture des USA (USDA) a décidé de faire des tests bactériologiques contre la salmonelle et certains E. coli (bactérie intestinale). Ainsi, si une usine échouait plusieurs fois à ces tests, l’USDA pouvait la faire fermer. Après avoir été traîné au tribunal par les associations de producteurs de viandes et de volailles, le Département de l’Agriculture n’a désormais plus ce pouvoir. En 2007, 73 000 personnes ont été atteintes du virus E. coli. En 1972, l’Administration de l’Alimentation et des Drogues (FDA) a conduit 50 000 inspections sanitaires. En 2006, ce nombre est tombé à 9164 contrôles. Sous l’administration Bush, la FDA avait à sa tête l’ancien vice-président de l’Association Nationale des Robots de Cuisine. Toujours, sous Bush, le chef d’équipe de l’UDSA était un ancien chef du lobby de l’industrie bovine à Washington. Avant de se reconvertir dans l’agro-business, Monsanto était une industrie chimique qui a produit, entre autres choses, des pesticides (DDT) et l’Agent Orange (un défoliant utilisé pendant la guerre du Vietnam). Le juge de la Cour Suprême, Clarence Thomas était un avocat de Monsanto à la fin des années 70. Alors qu’il était en poste à la Cour Suprême, Mr Thomas a écrit, dans une affaire, une opinion majoritaire qui a aidé Monsanto à faire respecter ses brevets de semences. Avec 32 000 cochons tués par jour, l’entreprise Smithfield de Tar Heel en Caroline du Nord est le plus gros abattoir du monde. En moyenne, un américain mange plus de 90 kg de viandes pas an. 30% des terres américaines servent aux plantations de maïs. 1 américains sur 3, né après 2000 va contracter un diabète précoce.¨Pour les minorités, ce ratio peut monter à 1 sur 2.

     

    Posté par David Naulin

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  •  

     

     

    Cet article à pour vocation d'apporter ou vision ou approche anti-psychanalytique de toutes ces thématiques qui me semble évidemment liées!!! La psychanalyse "traditionnelle" au sein de la psychiatrie en générale ayant tendance à tout compartimenter (d'où ce débat sans fin sur les "étiquettes"!!!) pour justifier les traitements médicamenteux de leurs amis les pharmaciens avec les "miracles" des neuroleptiques notamment et autres "benzomachintruc"... Ou des thérapies bizarre (internement, packing et autres camisoles en tout genre... N'avez vous pas remarqué l'étrange composition du terme camisole, Cam-isole...)!

    (...)

     

    • Autisme et schizophrénie: pas toujours une question d’hérédité

     

    "« Notre recherche souligne l’importance des mutations de novo dans la prédisposition génétique à l’autisme et à la schizophrénie. Nous avons observé une fréquence accrue de mutations de novo sévères dans les principaux gènes cérébraux associés à ces deux maladies », explique le directeur de cette étude, Guy Rouleau, professeur à l’Université de Montréal, directeur du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et chercheur au CRCHUM.

    Qu’est-ce qui pourrait bien provoquer de telles mutations génétiques «récentes» et sévères ?

    C’est quelque chose ça ! Il ne s’agit pas de la longue et patiente évolution de la vie… qui avance à si petits pas que la science ne peut qu’émettre des hypothèses à son sujet; il s’agit de mutations qui se produisent pendant une courte période: la vie d’un seul être humain. Ce n’est pas rien ! On ne parle pas de l’âge des sujets mais imaginons qu’il devait bien y avoir quelques enfants parmi ceux atteints d’autisme non ? Nous devons comprendre ce qui provoque des mutations sévères et aussi rapides de l’ADN humain !

    Que s’est-il passé pendant la vie de ces personnes pour que certaines de leurs cellules cérébrales mutent aussi dramatiquement ? Quand on ne peut plus pointer l’hérédité que reste-t-il ? on ne viendra pas dire que c’est provoqué par un état de conscience altérée non ? (je pense donc je mute) la conscience n’influence pas la matière à les entendre.

    Alors c’est quelque chose de physique ? peut-être quelque chose que ces sujets ont ingéré (d’une manière ou d’une autre) durant leur vie, peut-être au début de leur vie, alors que leur organisme était particulièrement vulnérable et délicat ? qui sait ? Nous avalons et nous faisons injecter tellement de cochonneries au cours de notre vie qu’aucun scientifique ne peut avancer qu’à long terme, ces différents mélanges soient sans danger.

    Si cette recherche n’est pas jugée trop risquée par l’industrie, elle pourrait mener à d’autres études au cours desquelles je vous parie qu’on regardera de tous les côtés, sauf dans la direction du (ou des) présumés coupable(s).

    Pensez-vous que l’industrie (incluant l’industrie chimico-agro-alimentaire qui s’en met plein les poches en nous empoisonnant à petits feux) va subventionner sa propre perte ? Les vrais coupables peuvent se cacher encore longtemps, leurs bouc-émissaires sont interchangeables et la vie de ces derniers n’a pas plus d’importance que la nôtre à leurs yeux..."

    http://www.resterenvie.com/blogue/?p=992 

     
     

    • Le trouble borderline ou TPL (Trouble de la Personnalité Limite):

     

    Etat des lieues, synthèses à voir pour commencer sur ce premier site...

     

    "Troubles de la personnalité, personnalités pathologiques. Classification, grandes lignes des troubles de la personnalité. DSM IV et troubles de la personnalité, CIM et troubles de la personnalité. Profils cognitifs. Vision psychanalytique..."

     

    "Le but recherché n'est pas de détailler et d'expliquer longuement les différents troubles de la personnalité mais tenter de faire ressortir des traits marquants, des symptômes de chaque trouble.

    Vous trouverez donc sur cette page plusieurs visions des troubles de la personnalité.

    http://www.aapel.org/bdp/BLtroublespers.html

     

    - L'énumération simple des troubles de la personnalité selon le DSM IV américain

    - Notre vision (en partant de la liste DSM IV) (<span class=" fbUnderline">notre = l'équipe du site</span>)

    - La vision francophone (européenne)

    - La vision cognitive selon Beck

    - La vision psychanalytique de la personnalité selon Freud & co...

     

    La "morale de l'histoire" touche au mythe de la tour de Babel. C'est à dire que dans notre monde actuel, des "psy" se côtoient et ne parlent pas la même "langue". C'est ainsi que selon le "psy" que l'on a face à soi, on peut se retrouver avec des diagnostics totalement opposés selon la "religion" du psy. La définition du trouble de la personnalité borderline vue par le DSM (vision internationale) ou du trouble..."

     

    Synthèse incontournable et très clair ici!!! http://www.aapel.org/bdp/BLtroublespers.html

     

    Ceci dit je remet sérieusement en cause certaines incompatibilités notamment borderline-schizoïde... C'est très réducteur à mes yeux car il y a tellement de similitude!!! Borderline étant la partie "malade" et schizoïde la partie "protectrice"...

     

     

    Qu'est-ce que le trouble de la personnalité limite (borderline)?

     

    "Le trouble de la personnalité borderline (ou trouble de la personnalité limite) est caractérisé par des émotions intenses, des comportements impulsifs et une instabilité de l'identité et des relations. Le trouble est généralement considéré comme résultant d'une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux (les expériences vécues).

     

    Voici les critères du DSM-IV pour le diagnostic de ce trouble:

     

    Il s'agit d'un mode général d'instabilité des relations interpersonnelles, de l'image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui est présent au début de l'âge adulte et dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes: 

     

        (1) efforts effrénés pour éviter les abandons réels ou imaginés

     

        (2) mode de relations interpersonnelles instables et intenses caractérisées par l'alternance entre les positions extrêmes d'idéalisation excessive et de dévalorisation

     

        (3) perturbation de l'identité: instabilité marquée et persistante de l'image ou de la notion de soi (ex. retournements brutaux et dramatiques de l'image de soi, avec des bouleversements des objectifs, des valeurs et des désirs professionnels; des changements soudains de d'idées et de projets concernant la carrière, l'identité sexuelle, le type de fréquentations)

     

        4) impulsivité dans au moins deux domaines potentiellement dommageables pour le sujet (ex.: dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile dangereuse, crises de boulimie).

     

        5) répétition de comportements, de gestes ou de menaces suicidaires, ou d'automutilations

     

        6) instabilité affective due à une réactivité marquée de l'humeur (ex.: dysphorie épisodique intense, irritabilité ou anxiété durant habituellement quelques heures et rarement plus de quelques jours)

     

        (7) sentiments chroniques de vide

     

        (8) colères intenses et inappropriées ou difficulté à contrôler sa colère (ex.: fréquentes manifestations de mauvaise humeur, colère constante ou bagarres répétées)

     

      (9) survenue transitoire dans des situations de stress d'une idéation persécutoire ou de symptômes dissociatifs sévères. 

    Le diagnostic est porté chez une personne rencontrant au moins 5 de ces manifestations si les symptômes sont sévères et sont présents assez longtemps pour causer une détresse émotionnelle ou des problèmes de fonctionnement dans les relations ou au travail.

     

    Des épisodes psychotiques (paranoïa ou perte d'un sens de la réalité) temporaires sont possibles particulièrement lorsque la personne traverse une crise personnelle.

     

    Le trouble de personnalité limite (borderline) est souvent accompagné d'autres troubles tels que troubles de l'humeur (dépression, trouble bipolaire), abus de substance, trouble alimentaire (ex. boulimie)." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=3884

    Voir aussi...

    DOSSIER: Trouble de la personnalité limite (ou borderline)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7126

     

     

    Le trouble de la personnalité limite (borderline) serait sous-diagnostiqué

     

    "Le trouble de la personnalité limite (borderline) pourrait être sous-diagnostiqué selon une étude de l'École de médecine du Mont Sinai (New York) présentée au congrès annuel de l'American Psychiatric Association. L'étude portait sur les antécédents de diagnostics et de traitements chez 70 personnes rencontrant les critères de ce trouble.

     

    Le diagnostic de trouble de la personnalité limite peut être difficile à poser parce que les symptômes de ce trouble chevauchent ceux d'autres troubles..."

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6877

     

     

    Le trouble de personnalité limite souvent diagnostiqué comme trouble bipolaire

     

    "Une étude de l'Université Brown (É.U.) montrait que moins de la moitié des personnes ayant reçu un diagnostic de trouble bipolaire (aussi appelé maniaco-dépression ou psychose maniaco-dépressive) recevait une confirmation de ce diagnostic lorsqu'une évaluation rigoureuse était réalisée avec un outil d'entrevue clinique. Dans une deuxième phase de cette étude, publiée dans le Journal of Clinical Psychiatry, Mark Zimmerman et ses collègues ont déterminé les diagnostics exacts de ces personnes.

     

    Le diagnostic le plus fréquent chez 82 personnes ayant reçu erronément un diagnostic de trouble bipolaire était le trouble de la personnalité limite (ou borderline).

     

    D'autres diagnostics retrouvés chez les personnes ayant reçu un diagnostic erroné de trouble bipolaire étaient la dépression majeure, le trouble du contrôle des impulsions, le trouble de personnalité antisociale, l' état de stress post-traumatique et les troubles alimentaires." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7049

     

     

    Le trouble de personnalité limite, une maladie neuropsychologique qui se précise

     

    "Chez les personnes souffrant du trouble de personnalité limite (TPL), aussi appelé trouble de la personnalité borderline, il y a des différences de densité dans la matière grise (constituée par les cellules nerveuses et leurs connexions) de deux régions clés du circuit de régulation des émotions. Ces différences se reflètent par des anomalies dans le fonctionnement de ces régions.

     

     

    Les personnes souffrant de TPL ont un excès de matière grise dans l'amygdale, une structure du cerveau liée à la peur et à l'anxiété. Cette région est sur-activée en réponse à certains stimuli perçus comme menaçants.

     

    À l'inverse, une région qui régule l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur situé à l'avant du cerveau, présente une déficience en cellules nerveuses et est sous-active. Cette région échoue à jouer son rôle qui serait normalement de mettre un frein à l'emballement de la réponse de peur, expliquent les chercheurs.

     

    Des altérations similaires dans les mêmes circuits ont été associées à la dépression et aux troubles anxieux, indiquant que le TPL peut partager des mécanismes communs avec ces troubles qui ont traditionnellement été abordés par la lorgnette de la biologie. Rappelons que les troubles de la personnalité ne sont traditionnellement pas considérés comme reliés à des problèmes organiques du cerveau." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6298

     

     

    Une influence génétique pour le trouble de personnalité limite (borderline)

     

    "Le trouble de personnalité limite (borderline) est en grande partie génétique selon une récente recherche américaine et néerlandaise publiée dans la revue Psychological Medicine.

     

    Timothy Trull de l'université du Missouri et ses collègues ont étudié les données de 5496 jumeaux aux Pays-Bas, en Belgique et en Australie : 42% de la variation dans les caractéristiques de personnalité limite était attribuable à l'influence génétique et 58% à l'influence environnementale. Ces résultats étaient consistants à travers les trois pays.

     

    Il n'y avait pas de différence dans les taux d'héritabilité entre hommes et femmes. Les jeunes présentaient plus de traits du trouble que les adultes plus âgés." (...)

    http://www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6488

     

     

    "Dr Fineltain Ludwig, Neuropsychiatre-Psychanalyste ACTUALITE DU SYNDROME BORDERLINE

    Étant donné l'importance et la complexité du sujet, ce troisième numéro du Bulletin de Psychiatrie lui sera entièrement consacré. On trouvera un premier article qui survole l'ensemble de la problématique borderline et un second article étudie, au travers des symptômes, la question philosophique du projet d'existence chez le borderline. Nous nous demanderons aussi comment ce syndrome met en question et subvertit les doctrines psychiatriques classiques dans des domaines aussi divers que la nosologie et la psychanalyse.

    Prochains articles prévus dans le numéro 4: -Internet et la psychiatrie -La psychiatrie du futur"

     

    1)Définitions

    2)Les errements de la terminologie: borderline, état-limite ou styxose?

    3)Le cheminement du concept 1938 à 1985.

    4)L'étude des publications contemporaines de 1993 à 1995

    5)La thèse psychanalytique de Harold Searles et d'autres auteurs

    6)Le syndrome borderline et le suicide

    7)Le syndrome borderline et la sexualité

    8)Deux cas cliniques

    9)Réflexions sur le syndrome borderline

    10)Subversion de la technique psychanalytique

    11)Subversion de la nosologie classique

    12)La téléologie. Outre l'analyse du transfert il faut prendre en compte le projet de vie ou "télos" méthode que je nommerais volontiers téléoanalyse."

    http://www.bulletindepsychiatrie.com/bulle3.htm

     

    http://www.personnalitelimite.org

    http://www.aforpel.org/

    Vidéos

     

    Le trouble de personnalité borderline

    http://www.dailymotion.com/video/x5ljoh_le-trouble-de-personnalite-borderli_webcam

    Trouble de Personnalité Limite (T.P.L.)/Borderline

    http://www.youtube.com/watch?v=371_cYaBB8Q

     

    • Trouble de la personnalité schizoïde ( signes autistiques évidents!!!)

     

    "Cette personne vit seule sans ressentir les conséquences de sa solitude. Elle ne manifeste aucun intérêt pour les relations sociales. Elle n'est pas touchée par les marques de sympathie ou d'affection et n'exprime quasiment jamais ses émotions. Ses loisirs sont solitaires et son activité professionnelle est souvent indépendante

    La personne schizoïde, chez qui donc règne la peur inconsciente d'être présent et d'avoir à s'investir dans le monde concret, peut manifester des symptômes divers :

    • appétit coupé par les émotions et/ou la peur (anorexie). Repas en petites quantité, à plusieurs reprises dans la journée

    • les diverses maladies de la peau (eczéma, allergies, ...)

    • problèmes respiratoires

    • angoisse et anxiété sans aucune raison extérieure

    • dépression, fatigue chronique, manque d'énergie, difficulté de concentration et de mémoire. L'inconscient retirant constamment l'énergie, le sujet déprime et perd le goût de vivre sans comprendre pourquoi

    • facilement attiré par les psychotropes, qui auront tendance à le propulser encore plus en dehors de la réalité, abus de sucres, drogues

    • faiblesse immunitaire et problèmes de circulation sanguine. Le sujet a souvent les extrémités du corps (mains et pieds surtout) froides

    • le sujet n'a pas tendance à prendre soin de son corps.

    Ces sujets apparaissent doux, affables, introvertis,en générale on retrouve les caractéristiques suivantes:

    • ils sont réservés et ne cherchent pas le contact avec autrui

    • sexualité absente ou réduite, souvent immature

    • ils présentent souvent un attachement aux animaux.

    • vie imaginaire riche

    • pas de troubles du cours de la pensée ou de bizarrerie de comportement.

    Pour les personnes schizoïde, en général, le comportement des autres n'est pas facile à comprendre et à décrypter. Par exemple, il a du mal à se mettre à la place des autres et donc à imaginer ce que peuvent être leurs émotions ou leurs sentiments. Autrement dit, elle n'est pas ou peu capable de se montrer empathique. La personne schizoïde préfère donc s'isoler, vivre en retrait dans son propre monde. Elle a de fait peu d'amis intimes et s'arrange fort bien avec cette solitude relative et choisie dont elle a réellement besoin pour se ressourcer. Inutile donc de chercher à être en permanence en communication avec une personne schizoïde ! Mieux vaut apprendre à respecter cet espace de silence dont elle a besoin.Si la personne schizoïde paraît indifférente aux critiques ou aux compliments des autres, elle n'y est pas moins sensible mais elle ne sait pas nécessairement l'exprimer ou le montrer, ce qui peut être parfois déroutant. Dès lors, sachez être attentif à des expressions émotionnelles discrètes et « n'exigez pas d'elle qu'elle exprime des émotions intenses »."

    http://les.autres.over-blog.net/article-3643235.html

     

    Sites intéressants sur la personnalité schizoïde

    http://www.schizoide.net/

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_la_personnalit%C3%A9_schizo%C3%AFde

     

    http://www.psychoweb.fr/articles/psychopathologie/74-groupe-a-personnalite-schizoide.html

     

    La période ascensionnelle - Personnalité - Cycloïdes et schizoïdes

    http://www.megapsy.com/Mental/pages/030.htm

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    5 commentaires