-
2011, 2012, 2013...
2012 n'est certainement pas la fin du monde ! C'est le début d'un nouveau !
Nouvelles énergies pour la Nouvelle Terre -
Par JahNiels le 18 Septembre 2011 à 16:27
BFS - Pétrole vert http://mega-streaming.info/video/3YM8D7B61A3U/BFS-Pétrole-vert
A l’heure où l’empreinte écologique des sociétés modernes a largement dépassé les capacités de régénération de la planète, la percée technologique de Bio Fuel Systems (BFS) apparaît comme une solution de premier plan pour éliminer les rejets industriels de CO2 dans l’atmosphère, lutter contre le réchauffement climatique et limiter notre dépendance vis à vis des réserves de pétrole. L’énergie solaire comme source principale d’énergie, la photosynthèse et les champs électromagnétiques associés aux propriétés organiques du phytoplancton (micro-algues marines) permettent de convertir le CO2, issu des émissions industrielles, en une biomasse puis en un pétrole artificiel similaire au pétrole fossile, sans soufre et sans métaux lourds, en quelque sorte un "pétrole propre".Article du 11 janvier 2011
mis à jour le 29 mars 2011Après 5 années de recherche menées en coopération étroite avec les universités d’Alicante et de Valence, BFS a mis au point le premier « procédé de conversion énergétique accélérée » qui permet de transformer les rejets excessifs de CO2 en un pétrole de qualité. Ce système repose sur les effets conjugués de la photosynthèse, de l’énergie lumineuse et des propriétés organiques du phytoplancton, mobilisé comme puissant catalyseur, pour obtenir un carburant comparable au pétrole fossile et offrant les mêmes possibilités de produits dérivés (plastiques, polymères…).
La culture intensive de phytoplancton s’opère dans des photobioréacteurs verticaux à partir de souches sélectionnées pour leur teneur en lipides et cela sans prélèvement sur la biodiversité.
Sur 1 hectare et selon un scénario de rentabilité optimale, une usine-type BFS de dépollution/valorisation est ainsi capable d’absorber 12 000 tonnes de CO2 par an et d’assurer une production continue et annuelle d’environ 5 500 barils de pétrole, voire 0,45 Mégawatts d’électricité (le CO2 capté peut être transformé en électricité grâce à des turbines ou des Moteurs de Combustion Internes). Au cours du processus de transformation, de multiples coproduits et sous-produits à forte valeur ajoutée, tels les acides gras essentiels (type oméga 3 ou 6…), peuvent par ailleurs être extraits du gisement de biomasse obtenu, assurant ainsi la rentabilité d’une installation-type.
Pour produire 1 baril de pétrole, BFS absorbe 2.168 kg de CO2 et neutralise définitivement 937 Kg de C02 après combustion. Ainsi, en prenant en compte l’ensemble du cycle de production de l’énergie consommée, à distance parcourue égale (100 km) et à puissance égale (135 chevaux), une voiture fonctionnant avec le pétrole BFS est la seule à avoir un bilan carbone négatif (- 48 kg de CO2), largement devant la voiture roulant grâce au pétrole fossile (+ 19 kg de Co2) ou encore la voiture électrique alimentée à l’énergie nucléaire (+0,3 kg de co2).
De l’amont à l’aval du procédé de conversion, BFS marque une avancée majeure en termes de capacité de dépollution, de rendements à l’hectare et de bilan carbone, dépassant largement les limites environnementales, économiques et sociétales des biocarburants de 1ère et de 2ème génération à base de matières premières agricoles.
La production en continu du pétrole BFS à un coût moindre, la qualité du combustible obtenu, son caractère propre, inépuisable et économiquement viable, offrent une véritable réponse à la raréfaction des hydrocarbures ainsi qu’une alternative durable à la dépendance vis à vis des importations de pétrole et de gaz.
L’usine pilote BFS d’Alicante, dont la première phase de construction au pied de la cimenterie Cemex (3ème cimentier mondial) est opérationnelle depuis janvier 2011. Deux autres usines sont déjà signées : sur l’île de Madère au Portugal et à Venise en Italie.
Le procédé biotechnologique
Le procédé de synthèse breveté et développé par BFS s’inspire du processus naturel à l’origine de la formation du pétrole d’origine fossile. Il utilise des éléments comme l’énergie solaire (comme source principale d’énergie), la photosynthèse et les champs électromagnétiques associés aux propriétés organiques du phytoplancton (micro-algues marines) pour convertir le CO2 issu des émissions industrielles, en une biomasse puis en un pétrole artificiel similaire au pétrole fossile, sans soufre et sans métaux lourds, en quelque sorte un pétrole propre. La culture intensive des micro-algues et l’absorption massive du CO2 s’opère en milieu fermé et dans des photobioréacteurs verticaux pour une optimisation des surfaces d’implantation, un meilleur contrôle des propriétés physico-chimiques du milieu d’élevage et une rentabilité optimale.
Les échangeurs Phytoplanctons et cyanobactéries
Le phytoplancton et les cyanobactéries sont des organismes vivants unicellulaires microscopiques, ancêtres de toutes formes de vie animale et végétale, et à l’origine du pétrole qui s’est formé à partir de leur décomposition. Ce sont des organismes « autotrophes », qui utilisent pour leur croissance un processus photosynthétique semblable à celui des plantes. Ce sont d’authentiques usines biochimiques en miniature, capables de réguler le CO2.
Le phytoplancton marin est responsable de plus de la moitié de la fixation totale du CO2 sur notre planète. Le rendement de ces micro-algues est nettement supérieur à celui des plantes terrestres. En effet, certains de ces micro-organismes unicellulaires se divisent par mitose toutes les 24 heures et se multiplient à l’identique sans autre apport que la cellule d’origine, de la lumière, de l´eau et du CO2. Les équipes de recherche biologique BFS travaillent à partir de souches de phytoplancton à haute teneur en lipides, sélectionnées parmi plus de 30.000 espèces répertoriées, sans manipulation artificielle et sans prélèvement sur la biodiversité.
La concentration cellulaire normale de ces micro-organismes dans l’eau de mer est de l’ordre de 100 à 300 cellules par millilitre. En milieu d’élevage, BFS atteint dans ses bioréacteurs une croissance exponentielle des micro-algues avec des concentrations de 500 millions à 1 milliard de cellules par millilitre ; une avancée technologique qui permet à BFS d’obtenir une biomasse à haut dosage énergétique puis, par extraction thermochimique, un pétrole artificiel de qualité élevée !
La captation du CO2
Le CO2 est le principal élément du cycle du carbone. Il intervient dans les échanges de carbone entre les êtres vivants, l’atmosphère et les éléments photosynthétiques. La technologie BFS vise à capturer le CO2rejeté par les industries en installant ses implantations à proximité. Le processus de traitement du CO2 permet de passer d’un carbone gazeux capturé (CO2) à un carbone organique (1 kg de biomasse dispose de 52% de carbone) pour arriver à un carbone minéral avec 65% de carbone et produire en toute fin un hydrocarbure avec 85% de carbone ; garantissant dès l’origine un pétrole BFS pleinement utilisable dans un moteur à combustion. Enfin, la production journalière BFS élimine 938 kg de CO2 issu des émissions anthropiques par baril produit et convertit 2.168 kg de Co2 par baril.
Des photobioréacteurs profilés pour une rentabilité optimum
La culture intensive des micro-organismes s’opère en milieu fermé dans des photobioréacteurs verticaux de 8 mètres de haut pour optimiser les surfaces d’implantation au sol et la productivité à l’hectare. Les photobioréacteurs BFS offrent une large surface de réception à l’énergie lumineuse afin d’assurer la fixation des photons et la production de biomasse en continu, avec un rapport m²/m3 optimisé. Ils ont été pensés pour être également « autonettoyants ». Le confinement du milieu d’élevage, assuré par le maintien constant d’une « pression positive », assure qu’aucun élément extérieur pathogène ou contaminant ne peut pénétrer le milieu de culture ni en altérer sa productivité.
La mise en structure cellulaire des tubes des photobioréacteurs facilite la photosynthèse.
Un pétrole « propre » en 48h !
Un pétrole similaire au pétrole d’origine fossile A la différence des biocarburants produits à partir de matières premières agricoles qui ne peuvent être utilisés qu’à hauteur de 5 voire 10% dans les moteurs, le pétrole issu de la technologie BFS est un excellent substitut au pétrole d’origine fossile. Il en présente les mêmes caractéristiques en matière de densité énergétique avec un pouvoir calorifique élevé, prouvé et certifié, de 9.700 kcal/kg*. Une fois raffiné, il peut donc être utilisé sans aucune adaptation particulière dans les moteurs. Ses coûts de raffinage sont par ailleurs moindres car exempts de souffre et de produits secondaires toxiques. A l’instar de son cousin d’origine fossile, le pétrole BFS peut également servir à fabriquer des plastiques, des solvants, des résines synthétiques, des détergents ou des engrais. *rapports Intertek et SGS
Un substitut au pétrole produit en moins de 48 heures Elaboré à partir des émissions de CO2 des industries dites polluantes telles les cimenteries, les déchetteries, les centrales thermiques ou encore les raffineries, le pétrole BFS est produit directement sur place ou, selon les options retenues, sur un site distant de transformation.
Alors que le pétrole d’origine fossile a nécessité des millions d’années pour se former à la suite d’un long et complexe processus de sédimentation, 48h suffisent à produire le pétrole BFS. Il faut en effet près de 24h pour obtenir le gisement de biomasse et autant pour en extraire le pétrole par voie thermochimique. Les installations BFS fonctionnent 24h/24 pour permettre l’absorption massive du CO2 et assurer une production en continu du pétrole.
Les coproduits et sous-produits innovants
Un potentiel d’extraction à forte valeur ajoutée Le gisement de biomasse obtenu au cours du processus de conversion du CO2 en pétrole offre un potentiel d’extraction de multiples coproduits et sous-produits à forte valeur ajoutée. Parmi ceux-ci, on retrouve notamment la spiruline, connue pour ses propriétés détoxicantes, pour stimuler le système immunitaire et faire baisser le taux de cholestérol ; le silicium, utilisé dans la fabrication des modules solaires photovoltaïques ; le charbon actif qui, de par sa capacité d’absorption, trouve ses applications dans les systèmes de filtration d’air ; les omégas 3 et 6 qui se révèlent être de véritables partenaires de notre santé au quotidien, …
Les omégas, des partenaires essentiels de notre santé Le gisement de biomasse obtenu au cours du processus de conversion contient 3% d’omégas 3. Généralement extraits des noix, du soja, du colza mais encore des poissons « gras » tels, par exemple, le saumon ou l’anchois, les omégas 3 sont essentiels au bon fonctionnement des systèmes nerveux, cardiovasculaire, oculaire, cutané, pileux et reproductif.
Ces dernières années, ces acides gras polyinsaturés se sont imposés comme des partenaires essentiels de notre santé au quotidien, d’autant plus que l’organisme humain est incapable de les produire. Des compléments alimentaires à la prévention de certains cancers en passant par la lutte contre la maladie d’Alzheimer, le marché des omégas 3 et 6 est en plein essor. Il attire de très nombreux acteurs, parmi lesquels les industries agroalimentaire, pharmaceutique et cosmétique.
Un bilan carbone négatif
TABLEAU COMPARATIF D’ÉMISSION ET D´ABSORPTION DE CO2 D´UNE VOITURE DE 135 CV (100 KW) SUR UN PARCOURS DE 100 KM AVEC DIFFÉRENTS COMBUSTIBLES.
Tous les calculs nécessaires à l’établissement de ce tableau comparatif ont été réalisés à partir de données scientifiques publiées par des universités et des organismes publics :
- Carburant fossile - les émissions de CO2 ont été calculées pour la combustion du carburant sans prendre en compte l’extraction, le transport et le raffinage.
- Biodiesel - tous les éléments ont été pris en compte dans les calculs : CO2 émis pendant la plantation,la récolte, la fabrication et la combustion.
- Véhicules électriques - le véhicule ne rejette pas d’émissions de CO2 par combustion, mais du CO2 a été émis à l’occasion de la construction et de l’exploitation des équipements de production d’électricité
- Pétrole BFS - il élimine du CO2 au cours de la photosynthèse par fixation biochimique.
Les émissions dues à la combustion ont été prises en compte.
Sur un cycle complet, de l’absorption du CO2 à la combustion du pétrole BFS obtenu à la suite du processus de transformation, le carburant BFS présente un bilan carbone négatif.
L’analyse des rejets de CO2 en fonction des sources de carburants effectuée sur la base d’un véhicule de 135 cv et parcourant une distance de 100 km présente + 19 kg de CO2 rejeté pour un carburant pétrolier d’origine fossile et + 25,4 kg pour le plus vertueux des biodiésels issu de la transformation du soja. Quant à l’électricité issue du nucléaire pouvant alimenter le même moteur, avec un rejet très faible de +0,3 kg de CO2 justifié par sa production amont (+0,5kg pour l’éolien quand le photovoltaïque est à +4kg) elle reste très au delà des - 48 kg de CO2 rejeté pour le carburant BFS.
L’empreinte positive sans concurrence du carburant BFS s’explique par le fait que le CO2 rejeté par le véhicule se trouve très inférieur à la quantité de CO2 absorbée par BFS pour produire le pétrole consommé sur les 100 kms.
Le pétrole BFS satisfait donc aux exigences de la directive européenne sur les énergies renouvelables qui fixe l’objectif de 20% d’EnR dans le secteur des transports d’ici 2020 sous réserve du respect de certains critères de durabilité, dont la réduction des émissions de gaz à effet de serre d’au moins 35% par rapport aux équivalents fossiles.
Enfin comme toute entreprise « environnementale » les usines BFS sont en production vertueuse, reconditionnant leurs propres rejets de Co2 dans leur cycle de production et prélevant sur leur production leurs besoins énergétiques.
Des atouts environnementaux
Les avantages de la technologie BFS et de son pétrole artificiel sont incontestables :
Un pétrole propre sans soufre, ni métaux lourds donc plus facilement biodégradable que le pétrole d’origine fossile… et consommateur d’importantes quantités de Co2 pour sa fabrication.
une superficie de production réduite (avantageux) favorisant une installation proche des usines à dépolluer (économique),
Une consommation économique en eau qui requiert 0,1 litre d’eau pour produire 1 litre de pétrole quand il faut 1000 litres d’eau d’arrosage pour obtenir un litre de diester à base de colza ou de tournesol,
une production de biomasse sans prélèvement sur la biodiversité, sans manipulation artificielle et riche de composants pour l’alimentation humaine et animale,
des usines vertueuses qui recyclent leurs rejets et prélèvent les besoins énergétiques sur leur production.
Les médias en parlent
France 2 : reportage diffusé dans le 20h de David Pujadas le lundi 28 mars 2011 :
Rouler aux algues, un pari fou ? un sujet réalisé par Greenpod :
Yann Arthus-Bertrand avait consacré en 2010 dans Vu du Ciel un sujet sur la fin du pétrole et à une autre alternative à base d’algues développée aux Etats-Unis :
http://cdurable.info/Premier-petrole-renouvelable-et-reducteur-de-CO2,317
Rouler aux algues, un pari fou ? par greenpodBFS - Pétrole vert http://mega-streaming.info/video/3YM8D7B61A3U/BFS-Pétrole-vert
votre commentaire -
Par JahNiels le 15 Septembre 2011 à 18:58
Par Jenaël !
Depuis plusieurs semaines, je travaille sur ce texte en collaboration avec mes guides, en relevant des synchronicités et en m'aidant d'extraits trouvés sur le net.J'expose mes visions du plus probable des futurs possibles de l'humanité.
Je vous invite à ouvrir votre cœur, puis de regarder autour de vous, de ressentir.
Êtes vous prêts pour fouler la Nouvelle Terre ?
Après la Lémurie, L'Atlantide, les prémices des nouvelles civilisations ont commencé, lorsque des groupes de personnes se réunirent autour de valeurs nouvelles et éthiques et qu'ils décidèrent de crée ensemble une nouvelle façon de vivre basée sur le respect, la liberté, la co-création...
L'humanité actuelle s'en va vers cette nouvelle civilisation, après la destruction de celle qui est en passe de s'éteindre en cette fin des temps.
Cette graine de civilisation se sème longtemps à l'avance, bien avant la fin de la précédente.
Lorsque de tels groupement de gens se construisent, ils deviennent collectivement un réceptacle d'une nouvelle énergie de création.
Notre humanité pourra ainsi émerger sur une terre vierge ou sur les ruines de notre civilisation éteinte.
Comment imaginer la Nouvelle Terre?
A travers l'histoire, les humains sont sensés avoir acquis ce qu'il ne faut plus faire, et appris de leurs expériences.
Sans renier nos capacités acquis, il va falloir réinventer une toute nouvelle organisation de société.
La « Nouvelle Terre » permettra :
d'organiser une nouvelle façon de vivre pour ses habitants,
et d' offrir un cadre spirituel solide.
Harmoniser l'un et l'autre besoin est le nouveau défit que se proposent l'humanité à venir
La Nouvelle Terre, disposera d' une nouvelle énergie " l'énergie libre " mise à la disposition des communautés préparées à l'accueillir.
Il ne s 'agit pas d'une nouvelle technologies fabriquant de l'électricité comme dans le monde que nous aurons quittés, bien qu'elle nous permettra de faire la transition,
mais je parle d'une énergie subtile libérée, par nos capacités " intérieures ",(l'énergie Christique) quelque chose dont nous n'avons pas encore vraiment conscience.
Cette Nouvelle Terre, ne pourrait pas naître dans notre civilisation actuelle, non seulement parce que notre société nous l'interdit, mais aussi, parce que très peu parmi nous ont la capacité de maîtriser ces énergies issues de l'invisible.
Cette énergie libre demande une «conscience nouvelle» qui n'est encore qu'embryonnaire dans quelques petits groupes de personnes au sein l’humanité. Cette nouvelle conscience déterminera notre existence dans le futur.
Cependant, il ne sera pas question de reconstruire en reproduisant d'après nos concepts périmés, mais de transformer le monde matériel en un paradis terrestre dans le respect de la nature et du respect des nouvelles règles du jeu de la vie.
La Terre est un lieu idéal pour l'évolution des espèces animales végétales, et élémentales en symbiose avec les cycles naturels. Mais l'homme n'est pas un animal.
IL est un esprit, qui incarné dans un corps animal, recherche sa véritable origine.
La plupart des humains sont aveuglés par leurs possessions matérielles qui finissent par les étouffer.
L'humain ravage son milieu vital, inconscient et impuissant à retrouver son essence intérieure immortelle.
L’énergie de La Nouvelle Terre.
La transition de nos corps physiques, en cette fin des temps, nous fait ressentir des moments de fatigues subits et intenses.
Faut-il en déduire que nous manquons d'énergie?
En réalité ces chutes de notre vitalité est du à un énorme travail de libération de toutes les formes de mémoires engrammées dans notre corps.
Mais notre état résulte surtout de notre confusion mentale et émotionnelle.
Nous sommes " aidés " en cela part les éruptions solaires, les fluctuations du champs magnétique terrestre, des cycles lunaires...
Les sensations de fatigues sont aussi le signe d'un réajustement du système immunitaire pour se libérer de la surcharge de pollution, quelle soit émotionnelle, électromagnétique ou chimique.
D'un point de vue plus profond, nous sommes malades parce que nous sommes déconnectés de la source universelle depuis si longtemps, qu'aucune amélioration n'est possible si nous ne nous relions pas à nouveau à la source de l'énergie universelle.
La maladie et la souffrance ont fait partie de l'illusion de l'existence terrestre.
Alors, pour parvenir à la santé parfaite, nous sommes invités à nous redécouvrir un état de conscience lucide qui amène de lui-même une immunité thérapeutique.
La pénurie énergétique est un leurre. Il n'y a pas de pénurie dans l'univers. Mais si l’énergie universelle est si abondante, pourquoi la plupart des humains sont-ils si faibles, fatigués, malades, déprimés?
L'humain c'est affaiblit à force de puiser les énergies les plus denses de la matière,( nourriture carnée, chimique, transformée, industrialisée) au lieu de se nourrir des énergies naturelles présentent dans les plantes vivantes et répandues en abondance dans l'atmosphère ?
Il existe de nombreuses formes d'énergie, végétale ,animale, tellurique jusqu'aux ondes cosmiques supérieures, avec une gamme étendue de rayonnements.
Certaines de ces énergies nous sont spontanément accessibles, mais d'autres ne nous parviennent qu’à travers l'élévation de notre conscience.
L'énergie qui nous est le plus directement accessible en tant qu'humain par la respiration (prâna), est celle de notre être de lumière, notre être intérieur.
L'énergie fondamentale de la nature procure la vitalité et régit tous les règnes naturels. Cette énergie éthérique peut parfois être amplifiée par une pratique yogi.
Ainsi le niveau de conscience de l'humanité actuelle, est à l'image de la lutte pour capter ces énergies, jusqu'à forer des puits de pétrole et de matières premières.
Notre humanité matérialiste interdit l'utilisation de l'énergie libre pour un usage personnel, car l’individu enfermé dans son système égotique, dans une conscience limitée, bloque la pénétration des forces cosmiques supérieures.
Ces rayonnements " divins " ne peuvent nous pénétrer qu'à faibles doses et de manière subconsciente.
Notre système cellulaire les dévore et les élimine pour perpétuer l’existence de notre égo illusoire mortel.
L'humanité s'acharnait à vouloir perpétuer un système antidivin, comme s'il s'agissait du produit d'une révolution technologique, alors qu'il engendre la misère morale et matérielle.
Pour que la Nouvelle Terre puisse voir le jour, l'actuelle civilisation devra s'achever. Cela peut nous être difficile à admettre pour notre mentalité formatée éduquée.
En cette fin des temps, les forces destructrices sont à l'œuvre, malgré des leurres technologiques et un contrôle implacable de l'humanité, pour maintenir l'édifice de l'illusion en place.
De surcroit, certaines hiérarchies occultes, orientent politiquement l'évolution de l'humanité pour résister à un changement qui leur serait fatal.
Les riches de se monde se sont alliés avec les puissances obscures pour établir un ordre mondial centralisé.
La plan occulte des puissant de ce monde est de nous imposer un sauveur mondial - «l’ Antéchrist» - pour que l'humanité acclamera celui qui leur promettra la «sécurité et la paix».
La fin des temps, est celle du"jugement ", un test à l'échelle mondiale qui sélectionnera ceux qui sont prêts à sacrifier leur confort matériel et intellectuel, pour rechercher la Vérité et trouver la Liberté.
Parallèlement à l'écroulement de l'ancien système qui résistera avec l'énergie du désespoir, l'émergence de petits foyers de civilisations isolés, entrera en résonance avec les rayonnements de l’ère du Verseau.
L'ère du Verseau
La changement planétaire à commencé dans les hautes dimensions invisibles sous l'effet des ondes cosmiques du soleil central de notre univers.
De nouvelles informations vibratoires nous sont envoyés par cette source cosmique
L'humain est appelé à s'harmoniser avec ces énergies de régénération, sinon, elles accompliront leur œuvre malgré nous et contre nous.
Individuellement ou collectivement, nous vivons un temps d'insécurité, c'est pourquoi la psychose de la sécurité et le désir d’une paix illusoire sont aussi ancrées dans notre quotidien.
Durant la grande transition que nous sommes entrain de vivre, des groupes de pionniers émergerons sur la surface de la Terre.
Ils ne savent pas ce qui les attend, ni moins encore le comprendre. Mais ils ne veulent plus du vieux monde et de ses tyrans visibles et invisibles.
Les pionniers de la Nouvelle Terre, devront poser les nouvelles bases.
D'abord par des activités modestes, comme se regrouper par affinité en petites cellules communautaires, préparer des terres d'accueils pour les futurs arrivants, planter des graines pour l’avenir, et surtout ressentir et réfléchir au moyen de poser les graines de cette nouvelle conscience parmi l'humain.
Les humains qui accepterons d'entrer dans la nouvelle énergie seront libérés de leurs chaînes et de leurs illusions.
Ceux qui resterons vont devoir " descendre de niveau ".
Il y aura une scission entre les deux humanités
Elles se détacherons l’une de l’autre. La première recherchant l’union avec l'univers supérieur, et l'autre devenant robotique afin de se maintenir dans la dimension de la matière.
Les pionniers de la Nouvelle Terre, vont se reconnaître et se regrouper, pour poser les bases d'une société qui leur convient, en tournant le dos à l'ancien monde, et en expérimentant de nouvelles formes de vie sociales et communautaires.
L’individualisme devra être dépassé, car ce foyer d'énergie nouvelle devra se construire en relation avec d'autres.
Les pionniers de la Nouvelle Terre.
La mission des pionniers consistera à prendre conscience des possibilités révolutionnaires offertes par les énergies divines cosmiques ?
Les synchronicités et les intuitions vont leur permettre de se regrouper par affinité, en petites unités communautaires.
Ces petits groupes d'humains conscient, où l’individualisme et l’égocentrisme sont absents, formeront des foyers où cette nouvelle énergie pourra s'emmagasiner et s'expanser pour de multiples usages.
Ils créeront une cellule d’un nouveau corps spirituel.
La Nouvelle Conscience
Un changement de conscience, en brisant d’abord nos conditionnements, doit être le prélude essentiel pour fonder la Nouvelle Terre.
Pour cela il s'agira d'abord de lâcher l'ancien.
Il n'y a rien à garder de l’ancien monde.
Les moteurs non polluants permettrons la transition, mais il faudra réaliser que l'idée même de moteur deviendra obsolète, et que les machines à énergie libre n'empêcheront pas l'avancée du béton.
Moteur n'est pas synonyme de technologie.
Car une technologie matérialiste antinaturels, n'aura plus lieu d'être an sein de cette nouvelle société.
Il existe une énergie inépuisable pouvant être utilisée sans recourir à des appareils externes
La vie n'aura plus besoin de machines et de systèmes technologiques compliqués, car les nouveau terriens produiront des systèmes énergétiques permettant le vol aérien et même interplanétaire.
Mais il ne faut pas se leurrer. La nouvelle conscience n'a rien à voir avec les pouvoirs psychiques, ou la quête du bien-être et d’un bonheur terrestre.
La nouvelle conscience va naître, à travers la formation d’une communauté d'Âmes, consciente de son potentiel d'énergie.
Vision de la Nouvelle Terre.
Une civilisation planétaire unifiée et centralisée est une aberration. Or, les gouverne-menteurs, cherchent une unité dans le monde physique comme ultime remède à l’égocentrisme qui les ronge.
Cette illusion d'une unité internationale (Nouvel Ordre Mondial) sera brisée comme la Tour de Babel car les lois de l'univers recherchent la diversité sous toutes ses formes.
L'univers s'expanse par la diversité, pour épanouir ses possibilités infinies, comme le démontre les multiples formes de vie dans les règnes naturels. Donc une civilisation unifiée internationale est contre-nature. Elle défie les lois universelle, elle est vouée à l'échec.
La nouvelle humanité sera diversifiée, elle permettra à des communautés libres d'exister et d'expérimenter des modes de vie différents. Car l’univers le permet.
Ceux qui préfèrent rester dans leur termitière du Nouvel Ordre Mondial feront l'expérience dans un cadre limité, mais il faudra qu'ils soient empêché d'étendre leur administration totalitaire.
Car aujourd'hui les partisans de la termitière veulent le territoire planétaire entier.
Il y a aura donc une lutte pour l’espace vital, qui sera mené par les forces de résistance avec des moyens "énergétiques ".
Cette énergie suprême est des fois appelée Vril, Elle peut donner la vie, ou anéantir ce qui n’est pas en harmonie avec les lois universelles.
L'humanité de la Nouvelle Terre, sera à l'image des nouvelles possibilités énergétiques, c’est à dire, fluide et souple, structurée et extrêmement résistante.
Elle permettra aux humains de s'épanouir dans des systèmes sociaux fort différents les uns des autres, mais qui auront en commun la conscience du lien sacré entre l'être vivant et l'univers.
Le futur de l’humanité
L'humanité va se scinder en deux groupes : les hommes libres d’une part, et les esclaves de la Bête qui auront renoncé à la liberté par désir de sécurité matérielle.
On distingue déjà les signes de cette séparation, surtout parmi la jeunesse depuis les années 80.
Beaucoup se sont mise à l'écart de la société.
Ils sont des «élus», ils se sont élus,car ils ont choisi la recherche de la Vérité.
L'autre partie de l'humanité, celle qui a opté pour la sécurité dans la matière, deviendra toujours plus " mauvaise ", elle persécutera le groupe des " bons "
Ceux-ci ne seront pas démunis, car ils développeront une " technologie énergétiques spirituelle " qui les protégera des agressions, et grâce à laquelle ils préserveront leurs poches de civilisation.
Beaucoup d'êtres incarnés actuellement, doivent comprendre qu'ils récolteront dans le futur ce qu'ils sèment aujourd'hui.
Ceux qui en aurons conscience, relèverons le défi de l’ère nouvelle.
Ils sont les germes des sociétés futures, et qui communierons avec l’énergie de l'univers.
Ils se retrouverons dans la nouvelle dimension sous un nouveau ciel avec les humains de la 5ème dimension.
A bientôt pour cette nouvelle aventure.
Jenaël
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique