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Par JahNiels le 27 Juin 2012 à 07:22
RESPECTER LE RYTHME DE LA NATURE ( Le tableau des saisons pour la France)
Les fruits et les légumes sont bons pour la santé :
Ils sont riches en vitamines, fibres alimentaires, glucides, sels minéraux… (à condition qu’ils ne soient ni traités ni des Organismes Génétiquement Modifiés !)
Cependant, pour qu’ils gardent leur vertu gustative et que leur culture ne nuise pas à l’environnement, il est préférable de les consommer lorsqu’ils sont de saison.
En effet, la culture sous serre nécessite souvent de grandes dépenses énergétiques ainsi que l’utilisation de substances chimiques. Et passons sur les fruits & légumes irradiés.
L’idéal est de consommer les fruits et les légumes – de saison- des producteurs de sa région.
Les fruits importés sont cueillis avant maturité, réfrigérés pendant le transport et traités pour arriver à point sur les étalages de nos supermarchés mais…pas très gouteux !
De plus, les transports utilisés pour les amener jusqu’à nos assiettes sont très gourmands en pétrole.
Respectons la nature et son rythme naturel…
Voici le tableau (à compléter) pour la France métropolitaine :
- Janvier:
Fruits : citron, clémentine, kiwi, mandarine, orange, noix, poire, pomme
Légumes : betterave, cardon, carotte, céleri branche, céleri-rave, chou (vert, rouge, frisé, pommé, de Bruxelles, brocoli), courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), crosne, endive, navet, panais, poireau, pomme de terre (de conservation), salsifis, topinambour
Salades : mâche
Aromates : ail, échalote, oignon
- Février:
Fruits : citron, kiwi, orange, noix, poire, pomme
Légumes : betterave, cardon, carotte, céleri-rave, chou (chou de Bruxelles, chou pommé, chou rouge, brocoli), courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), crosne, endive, fenouil, navet, panais, poireau, pomme de terre (de conservation), rutabaga, salsifis, topinambour.
Salades : frisée, laitue, mâche
Aromates : échalote, oignon
- Mars:
Fruits : citron, kiwi, noix, orange, pomme
Légumes : betterave, cardon, carotte, céleri-rave, endive, navet, panais, poireau, pomme de terre (de conservation), potiron, salsifis, topinambour
Salades : laitue, mâche, oseille Champignons : morille
Aromates : échalote, oignon
- Avril:
Fruits : kiwi, pomme
Légumes : artichaut (camus breton), asperge, blette (ou bette), carotte, chou-fleur, épinard, fève, navet, petits pois, petit poivrade, poireau, pomme de terre (de conservation), radis rose
Salades : cresson, frisée, laitue, oseille Champignons : morille
Aromates : échalote, oignon
- Mai:
Fruits : fraise, rhubarbe
Légumes : artichaut, asperge, blette (ou bette), chou-fleur, épinard, fève, haricot vert, petits pois, poivrade, radis rose
Salades : cresson, laitue, oseille, pourpier, scarole, roquette
Aromates : échalote, oignon
- Juin:
Fruits : abricot, amande, cerise, fraise, framboise, melon
Légumes : artichaut, asperge, blette (ou bette), chou-fleur, courgette, fenouil, fève, haricot vert, petits pois, pomme de terre (primeur), radis rose
Salades : laitue, oseille, roquette
Aromates : aneth, basilic, cerfeuil, ciboulette, coriandre, échalote, estragon, laurier, marjolaine, menthe, oignon, origan, persil, piment, romarin, sauge, thym
- Juillet:
Fruits : abricot, brugnon, cassis, cerise, figue (fraîche), fraise, framboise, groseille, melon, mirabelle, mûre, myrtille, pastèque, pêche, prune, tomate
Légumes : artichaut, aubergine, blette (ou bette), brocolis, carotte, concombre, cornichon, courgette, fenouil, fève, haricot vert, petits pois, pomme de terre (primeur)
Salades : laitue, roquette
Aromates : ail (frais), échalote, oignon
- Août:
Fruits : abricot, cassis, figue (fraîche), fraise, framboise, groseille, melon, mirabelle, mûre, myrtille, pêche, prune, raisin, tomate
Légumes : artichaut, aubergine, blette (ou bette), brocolis, carotte, concombre, courgette, fenouil, flageolet, haricot vert, maïs, poireau, poivron, pomme de terre (de conservation), salsifi
Salades : laitue, salade chicorée, roquette
Aromates : ail, échalote, oignon
- Septembre:
Fruits : figue (fraîche), fraise, framboise, melon, mirabelle (notamment celle de Lorraine), mûre, myrtille, pêche, poire, pomme, prune, raisin (chasselas de Moissac, muscat de Hambourg), tomate.
Légumes : artichaut, aubergine, betterave, blette (ou bette), brocolis, carotte, chou, chou de Bruxelles, chou-fleur, concombre, courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), courgette, épinard, fenouil, flageolet, haricot (coco paimpolais, lingot, mogette, haricot blanc), haricot vert, maïs, poireau, poivron, pomme de terre (de conservation), radis rose, salsifis.
Salades : frisée, laitue, salade chicorée Champignons : girolle, cèpe, bolet et trompette de la mort
Aromates : échalote, oignon
- Octobre:
Fruits : châtaigne, coing, figue (fraîche), framboise, kiwi, noix, pêche de vigne, poire, pomme, raisin, tomate. Légumes : artichaut, aubergine, betterave, blette (ou bette), brocolis, carotte, céleri-rave, chou, chou de Bruxelles, chou-fleur, concombre, courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), courgette, épinard, fenouil, haricot vert, navet, panais, poireau, poivron, pomme de terre (de conservation), radis rose, salsifis, topinambour
Salades : laitue, mâche, salade chicorée, roquette Champignons : cèpes et bolets
Aromates : échalote, oignon
- Novembre:
Fruits : châtaigne, coing, datte, kaki, kiwi, noix, poire, pomme, raisin.
Légumes : betterave, blette (ou bette), brocolis, carotte, céleri branche, céleri-rave, chou, chou de Bruxelles, chou rouge, chou-fleur, courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), crosne, endive, épinard, navet, panais, poireau, pomme de terre (de conservation), radis rose, salsifis, topinambour
Salades : laitue, mâche, salade chicorée
Aromates : échalote, oignon
- Décembre:
Fruits : châtaigne, clémentine, kiwi, mandarine, noix, orange, pamplemousse, poire, pomme
Légumes : betterave, cardon, carotte, céleri-rave, chou, chou de Bruxelles, chou rouge, courges (courge, citrouille, potiron, potimarron...), endive, navet, panais, poireau, pomme de terre (de conservation), salsifis, topinambour
Salades : mâche, salade chicorée
Aromates : échalote, oignon
NB: Les clémentines et les oranges sont parfois cultivées sous un climat méditerranéen (on en cultive même dans le sud de la France). Mais il faut être conscient que l'essentiel de la production vient de loin. L'Espagne représentait 5% de la production mondiale d'oranges (2004) alors que les États-Unis et le Brésil représentaient respectivement 19% et 29%.
Céline Thiault
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Par JahNiels le 5 Juin 2012 à 19:10
Le 24 Mai 2012 – A l’occasion de la journée mondiale de la sclérose en plaques se déroulant le 30 mai, une première rencontre d’échanges sur les nouvelles perspectives sur la sclérose en plaques s’est tenue le 24 et 25 mars 2012 à Paris à l’initiative du Dr Olivier Soulier qui accompagne des patients atteints de cette maladie depuis 25 ans.Son but : dire qu’on peut sortir de la SEP. 160 personnes, patients et soignants, ont suivi avec une très grande attention ces 2 journées très denses.
Olivier Soulier(1) a soigné les premiers cas de sclérose en plaques en 1987. Après plusieurs situations d’amélioration et de mise en rémission prolongée, il a reçu par le bouche à oreille de très nombreux patients. Après 10 ans et plus de 100 cas, il a commencé à conceptualiser un schéma possible et un mode de traitement. A ce jour, il a suivi près de 400 cas. Au cours du colloque, il décrit l’univers qui préside à la maladie, selon ses observations : voici, résumée, sa vision de la SEP qui semble avoir recueilli de très nombreuses approbations au cours de ces journées :
« Pour le patient comme pour sa famille, cette maladie se caractérise par un fort sentiment d’impuissance. Au cours du temps, la maladie devient une identité. » Il insiste : « Si on tombe malade avec un système de pensée, on ne peut pas guérir avec le même système ». « Le malade a le plus souvent été un enfant sage, avec une adolescence inefficace ou inexistante, rempli de « il faut » et de « on doit ». Le mythe de la famille parfaite est très présent. » Olivier Soulier note que, le plus souvent, l’enfant même grand, même peu handicapé par la maladie, vient en consultation accompagné de ses parents. « Je leur dis : vous n’avez pas vu que ce n’était plus un enfant ? Ces malades n’ont parfois même pas conscience d’avoir un soi différent de celui du groupe. Ils perdent jusqu’à la mémoire de leur vie propre. C’est la maladie de l’hyperadaptabilité, qu’on pourrait comparer à une lampe de 4000 watts branchée sur une prise de chevet ! »
En pathologie, on dira que la SEP, maladie auto-immune où des anticorps se liguent contre la gaine de myéline qui entoure les axones nerveux, est significative d’un problème entre le soi et le non-soi, définition du conflit immunitaire, d’acceptation en soi de ce qui n’est pas soi. Comme écrit Rimbaud : je est un autre. Alors comment être tout à fait soi ? Comment se soigner ? « 3 axes de pacification sont essentiels à respecter » précise Olivier Soulier :
« Le psy et le cerveau : prendre conscience de sa vie propre, tous les outils sont les bienvenus pour autant qu’ils fonctionnent. La réaction familiale sera la clé du pronostic. 30% de résultats. Le système digestif et l’état de la flore intestinale, renfort du soi et restauration de la barrière, gardienne de la sélection, soutien du foie qui préside au processus d’élimination des toxiques (ondes, infections, éducation, influences, tutelles en tous genres) grâce, notamment, à la nutrition qui n’est autre qu’une attention à soi dans une écoute toujours plus profonde. Et de citer la proposition du Dr Kousmine (La SEP est guérissable) : huiles de première pression à froid, céréales complètes, diminution des protéines et des sucres, vitamines dont la D, minéraux, acides gras AGPI, probiotiques. 30% de résultats. Ces 2 axes auront une incidence directe sur le 3ème, le système immunitaire et sanguin. 30% de résultats. En conclusion : « Il faut agir le plus tôt possible à tous les niveaux avec la conscience la plus large possible. La phrase clé de la guérison sera : Fais comme tu le sens. Affirme ton non qui te permet d’accéder à ton nom. Le pronostic dépendra de 3 facteurs : le niveau d’auto immunité, le niveau de soumission, le niveau de destruction du système nerveux. »
Le Dr Michel Geffard(2), chercheur à l’INSERM, propose depuis 20 ans des traitements pour les maladies dites incurables (SEP, SLA, PAR…)
Son constat : aucun traitement n’est suffisamment efficace, ils ont chacun une action partielle, par exemple 30% pour le copaxone, car ils n’agissent pas sur toutes les voies participant à la pathogénicité. Certains permettent une amélioration au début, mais l’évolution globale de la maladie n’est pas ralentie.
Sa vision : avancer le plus possible le diagnostic (de 3 ans environ) pour tenter d’agir au moment de la première poussée. La réversibilité au début est facile et presque toujours possible. En accord avec le Dr Soulier, il confirme qu’il est important de comprendre, et ceci pour agir efficacement, que la maladie touche tous les grands systèmes de l’identité : génétique, immunitaire et nerveux. Le carrefour des dysfonctionnements, c’est la barrière hémato-encéphalique qui a perdu de son étanchéité et laisser passer dans le cerveau les substances indésirables. Pour qu’elle cesse d’être attaquée, il faut réguler le système immunitaire en amont, faire en sorte qu’ilréintègre sa fonction première, la surveillance et la défense, suractivée dans ce cas. En cause donc, en amont, la première barrière, la barrière intestinale qui, devenue perméable, autorise le passage continuel d’anticorps, entretenant comme une guerre permanente dans l’organisme. Cette lutte provoque l’accumulation de déchets, produit de la dégradation de ces réactions incessantes entre le soi et le non-soi, produits cytotoxiques et neurotoxiques, qui à leur tour affaiblissent notre système immunitaire. Il est donc urgent de restaurer la barrière intestinale et de soutenir le foie dans son effort de détoxification.
Sa proposition : Le Dr Geffard a mis au point un traitement appelé endothérapie multivalente, compatible avec les traitements classiques et les nouveaux traitements. Un bilan est effectué avec différentes mesures dont des dosages précis d’anticorps. Ce traitement comporte des acides gras, acides aminés, vitamines et polylysine spécifiques qui neutralisent les endotoxines. Il a été testé sur des milliers d’animaux et en CHU. C’est le score EDSS classique qui permet de valider ses résultats. Ce traitement agit sur la barrière hémato encéphalique en suppriment l’infiltration leucocytaire dans le cerveau. Coût du traitement : environ 100 euros par mois.
Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte (3), neurologue, a quitté sa pratique hospitalière pour penser la maladie grâce à l’écoute attentive du patient: pourquoi ces symptômes ? Pourquoi cette personne ? Pourquoi cette maladie ? Pourquoi à ce moment de la vie ? Son écoute lui permet de décrypter le symptôme très précisément. « Toutes les compensations symboliques sont le masque d’une souffrance spécifique gardée secrète et qu’il faut apprendre à écouter. Ce sont les maladies qui vous guériront des parties inaccomplies de vous-même».
Willy Barral (4), psychanalyste, a été atteint d’une SEP à 60 ans, il s’est autoguéri et il témoigne longuement. « La maladie est arrivée exactement un an après le suicide de mon frère, j’ai réalisé qu’elle était liée à un grave conflit interne entre mon projet personnel et mon projet familial. » Il souligne l’importance de la psychogénéalogie, de l’engrammage qui nous enferme sans que nous disposions du logiciel pour décoder. Pour son travail de sortie de SEP, il a été aidé par la phytothérapie, l’ostéopathie, la dentisterie, l’autovaccination, l’écriture d’un roman familial, la visualisation mentale, la méditation. « Si je suis capable d’attaquer mon système immunitaire, c’est que je suis capable de l’arrêter. » Une phrase en forme de conclusion. Reste à s’en donner les moyens.INTERVENANTS (liste non exhaustive)
- Michel Geffard, Docteur en Médecine – Docteur ès Sciences Directeur de recherche INSERM. Il propose depuis 20 ans des traitements pour les maladies dites incurables, SEP, SLA, PAR. Il estauteur et co-auteur de 55 publications en immunologie-immunochimie, 174 publications e n neurobiologie et auteur et co-auteur de 28 publications sur la Sclérose en Plaques ainsi que de très nombreuses études sur les maladies chroniques, sans compter ses 324 séminaires et conférences. http://idrpht.free.fr/
- Olivier Soulier, Docteur en médecine. Homéopathe Acupuncteur. Diplômé de gynécologie médicale. Hypnose Ericksonnienne, PNL, Ennéagramme. contact.lessymboles@nordnet.fr – www.lessymboles.com. Un DVD du colloque est en vente sur le site.
- Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte, neurologue médecin, spécialiste en neurologie, ancien chef de service hospitalier. Il a choisi l’activité libérale pour privilégier l’écoute du patient. Il consacre son travail de recherche à la compensation symbolique inconsciente d’une souffrance non exprimée. Il a fondé le CRIDOMH. Auteur notamment de « Ecouter et comprendre la maladie », éd. Téqui.
- Willy Barral, psychanalyste – écrivain formé par Françoise Dolto et Pierre Solié. Il a publiéFrançoise Dolto: c’est la parole qui fait vivre.(Gallimard, 1990) et Le Corps de l’enfant est le langage de l’histoire de ses parents. (Editions Payot, 2008)
- Professeur Jean-Louis Christiaens, Consultant en Douleurs chroniques.
« Sclérose en plaques : une maladie guérissable pour 38% des Français »
C’est ce que titre France Soir, qui constate qu’« une étude de l’institut Kantar-Health [pour la Fondation Arsep] montre que les Français restent relativement mal informés quant aux traitements existants pour lutter contre la sclérose en plaques ».
Le journal retient que « les lacunes au niveau des connaissances de la population demeurent. Il est important de rappeler que la recherche a certes permis de faire des progrès significatifs en termes de traitements, mais que la maladie reste à l’heure actuelle incurable ».
France soir remarque ainsi que « 4 Français sur 10 pensent que le sexe a un impact sur la prévalence de la SEP. Mais ils sont seulement 34% à désigner, avec raison, les femmes comme principales cibles de la maladie : jusqu’à présent, il était reconnu que 2/3 des personnes atteintes étaient de sexe féminin ».
Le journal indique que « lors du prochain congrès de la Fondation Arsep, de nouvelles données épidémiologiques vont être présentées : elles montrent que le sex ratio évolue dans le temps aux dépens des femmes qui représentent désormais 3/4 des malades ».
France Soir note enfin que « 70% des Français ignorent l’impact environnemental sur la maladie. L’ensoleillement, la latitude, ou encore les modes alimentaires ont pourtant des effets démontrés sur la maladie ».
« Les effets immunomodulateurs de la vitamine D dans la SEP sont au programme du 21ème congrès de la Fondation Arsep. Il y sera démontré que le manque de vitamine D influence la fréquence de poussées de SEP, au moins qualitativement », conclut le journal.
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Par JahNiels le 17 Septembre 2011 à 03:14
Par Slowenn Jeza Storm
REDUISONS NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE !!!
Si on arrête de consommer des produits d’origine animale,
- on réduit la destruction des forêts tropicales de 70 %
- on sauve 923 millions de vies qui crient famine
- on résout une grande partie du réchauffement climatique,
- on évite certaines guerres
- on sauve la planète de la plupart catastrophes naturelles
- on évite la naissance et la propagation d’épidémies
- on résout les problèmes de pénuries d’eau
- on met fin à la pollution des nappes phréatiques, des rivières et des océans
- on met fin à l’extinction de milliers d’espèces animales sauvages
- on met fin à l’acidification des océans qui tue le corail et la vie marine...
- On estime qu'un végétarien consomme en moyenne 180 kilos de céréales par an alors qu'un consommateur de viande en gaspille 930 kilos par an.
- Pour obtenir 1 calorie de poulet, il faut ainsi environ 4 calories de nourriture végétale. Idem pour le porc ou les oeufs. Pour le lait, on grimpe à 8. Et pour le boeuf, à 17, voire bien plus ! En comparaison, la pomme de terre est bien moins gourmande, son taux de conversion n'étant que de 0,46
- Pour produire 100 grammes de boeuf, il faut 25 000 litres d'eau.
Glouton, notre cheptel est aussi expansionniste.
- Au total, l'élevage et la production des aliments pour le bétail squattent 78% des terres agricoles mondiales, soit 30% de toute la surface du globe, trois fois plus qu'en 1960.
Chaque année, des millions de gens meurent dans le monde suite à la sous-alimentation tandis que d'autres ont le luxe de gaspiller leur nourriture, laissant la moitié de leur repas dans leur assiette, nourrissant leur chien de leurs restes... Nous avons beaucoup de chance, mais si votre enfant venait à mourir de faim ne souhaiteriez-vous pas que le reste en du monde en consomme un peu moins ?
33% des terres cultivables de la planète sont utilisées à produire l’alimentation des animaux d’élevage ; 26% de la surface des terres émergées non couvertes par les glaces est employée pour le pâturage.
Au total, ce sont 70% des terres à usage agricole et 30% de la surface de la terre qui, directement ou indirectement, sont consacrées à l’élevage. De plus, 35,5% du volume des céréales produites dans le monde sert à nourrir les animaux d’élevage. Soit 670 millions de tonnes au total ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 850 millions d’êtres humains souffrant de malnutrition.
il faut 4 à 10 fois plus de terre pour nourrir des mangeurs de viande que des végétariens.
Par exemple, il faut 300 g de céréales pour produire 100 g de poulet, 500 g de céréales pour 100 g de bœuf. Il en faut encore plus pour produire 100 g de porc.
500 g de céréales sont donc nécessaires à la production de 100 g de bœuf. Juste une petite comparaison, 100 g de bœuf fournissent 16 g de protéines alors que 500 g de céréales fournissent 50 g de protéines. Ne pensez-vous pas que nous avons perdu des protéines en chemin? Est ce qu'il ne serait pas intelligent que les personnes qui ont les moyens et la possibilité de s'acheter un steak partagent leurs protéines avec ceux qui en ont besoin tout simplement en préférant occasionnellement des plats de végétaux ou céréales?
· Quelques chiffres intéressants
Apparemment si les Américains réduisaient leur consommation de viande de 10 %, cent million de personnes pourraient être nourries par les céréales qui étaient utilisées pour le bétail. Et si chacun d'entre nous réduisait sa consommation de viande ou même devenait végétarien? Faites-en les calculs.
Aux États-Unis 70 % des céréales vont aux animaux d’élevage. En Inde seulement 2 % des céréales vont aux animaux.
Selon la section d’« Agriculture mondiale » de la FAO, à l’heure actuelle 776 millions de personnes, soit 1 sur 6 souffrent de malnutrition et, en dépit d’une production céréalière en augmentation de près d’un milliard de tonnes depuis le milieu des années 1960, un pourcentage important de cette quantité n’est pas utilisé au bénéfice des humains. Un peu plus d’un tiers du rendement mondial en céréales est destiné aux animaux chaque année, de même qu’un quart de la production mondiale de poissons.
La « Compassion in world farming » affirme qu’en 1985, pendant la famine en Éthiopie, alors que la population mourait de faim, le même pays exportait des céréales pour le bétail anglais.
Ce modèle s'étend même à la Chine qui augmente sa consommation de viande à mesure que sa population s'enrichit. Certains agriculteurs américains prévoient que dans l’avenir, l’agriculture intensive (occidentale) permettra d’alimenter la production animale en Chine.L'institut de recherche américain Earth Policy Institute soulignait, en mars dernier, que si les chinois consomment les ressources en 2031 de manière si vorace que les Américains, la consommation de grains par personne là-bas augmenterait de 291 kilos actuellement à 935 kilos. C’est-à-dire que la Chine consommera 1,352 millions de tonnes de grains, une quantité lointaine des 382 millions de tonnes usées en 2004. Cela est égal à deux tiers de la consommation totale de céréales en 2004.7
En résumé, sur une même terre, nous pouvons produire plus de céréales que de viande et les céréales sont données aux animaux. Il y a une double perte. Nous pourrions alimenter beaucoup plus de personnes si celles-ci consommaient directement les céréales. La faim dans le monde pourrait alors être largement limitée si nous réduisions ou éliminions nos habitudes carnivores
Il suffirait de renoncer à la viande pour soulager la pénurie de céréales tout en préservant l'environnement et notre santé. "L'élite intellectuelle dans les pays développés trouve parfaitement normal de s'inquiéter de la surpopulation dans le monde, mais elle oublie toujours un fait. La vraie surpopulation, c'est celle du bétail."
L'auteur de ces phrases n'est pas un vachophobe excentrique ou un végétarien fanatique mais l'économiste américain Jeremy Rifkin, auteur, entre deux essais sur le travail ou les nouvelles technologies, du passionnant "Beyond Beef", un essai sur l'impact dévastateur de l'industrie de l'élevage.
Surpopulation ? Avec 1,4 milliard de vaches, notre planète croule en effet sous le bétail : le poids cumulé de tous ces ruminants est supérieur à celui de toute la population humaine avec ses 6 milliards d'habitants ! Et c'est de pire en pire. La production de viande a été multipliée par cinq depuis les années 1950, pour passer à 265 millions de tonnes, et devrait encore doubler pendant les 20 années à venir. De quoi affoler les experts en alimentation, qui se demandent bien comment la terre pourra nourrir les 3 milliards d'humains supplémentaires de ces prochaines décennies.
La concurrence entre les animaux d'élevage et les hommes s'annonce très rude.
- 80% de l'alimentation animale proviennent de cultures qui conviendraient également à la consommation humaine : maïs, soja.
- A l'ère de l'élevage industriel, nos bêtes accaparent à elles toutes seules 60% de la production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 923 millions d'êtres humains souffrant de malnutrition. En fait, d'un point de vue malthusien, la viande n'est pas «rentable».
«Sur un hectare de terrain, un agriculteur peut nourrir une trentaine de personnes s'il le consacre à la culture de légumes ou de fruits. S'il produit des oeufs ou de la viande, le ratio passe à cinq personnes. Et à beaucoup, beaucoup, moins, s'il ne s'agit que de viande rouge», dit ainsi Bruno Parmentier, auteur de «Nourrir l'humanité» et directeur de l'Ecole supérieure d'Agriculture d'Angers.
Des périls verts à quatre pattes :
- Le plus insensé ? C'est que toute cette bidoche est en priorité destinée à 0,1% de la population de la planète, l'infime petite minorité des riches de ce monde. Notre consommation de viande est passée de 30 kilos par personne et par an en 1919 à plus de 100 kilos aujourd'hui. C'est trois fois plus que la quantité préconisée par les organismes de santé.
Non seulement notre régime carnivore affame la planète, mais il nous tue aussi par la recrudescence des maladies de "biens nourris" : accidents cardiovasculaires, diabète, obésité...
- Et pour ne rien arranger, il contribue au réchauffement climatique.
Selon un rapport publié en 2006 par la FAO de l’ONU, l'élevage est responsable de 18% des émissions des gaz à effet de serre. Soit plus que le secteur des transports ! Avec leurs flatulences chargées de méthane [72 fois plus puissant que le CO2 sur 20 ans], leurs tonnes de fumier gorgé de gaz hilarant, le fameux NO2 également des plus nocifs [300 fois plus puissant que le CO2], sans compter les émissions d'ammoniac synonymes de pluies acides et leurs déjections qui polluent les nappes phréatiques, nos charmants bovins sont des périls verts à quatre pattes.
- L'extension de leurs pâturages fait des ravages. En Amérique centrale, 20% des zones sylvestres ont déjà été ratiboisées. Et c'est encore pire au Brésil, où 38% de l'Amazonie ont été sacrifiés pour les bovins. Une déforestation qui s'accélère avec les immenses plantations de soja destinées à nourrir nos vaches, toujours elles. Mon royaume pour une entrecôte.
Doan Bui, Le Nouvel Jal ObserVateur
http://www.vegplanete.com/
*http://mariadeveloppementd urable.blogspot.com/2010/0 2/1.html
*http://revegezvous.unblog. fr/protection-de-lenvironn ement-et-du-tiers-monde-un -monde-en-paix/vegetarisme -et-survie-de-la-planete/
*http://dcroissance.blog4ev er.com/blog/articles-cat-4 43006-480036-alimentation_ sante.html
EARTHLINGS - TERRIENS (Sous-Titres Français)
http://video.google.com/vi deoplay?docid=409373021607 4063220#
Soyons honnête avec nous même, devenons végétarien!
Commençons au moins par baisser notre consommation de viande de manière significative...
Je vais vomir un peu et je reviens !!!
http://www.agoravox.fr/act ualites/sante/article/je-v ais-vomir-un-peu-et-je-rev iens-89142
Film vege
http://filmvege.blip.tv/
Pourquoi devenir végétarien ?
par Slowënn Oxanda, vendredi 6 août 2010, 21:35
http://www.facebook.com/no te.php?note_id=13785080291 9588
Devenez végétarien !
Extrait de:> Association Stéphane Lamart pour la défense des animaux.
Nos pétitions en cours. Dites non aux Corridas, Justice pour animaux,Pigeonnier,Protection des animaux de ferme,Animaux domestique et sauvage... http://www.associationstep hanelamart.com/index.php?
Pourquoi devenir végétarien ?
L’amour des animaux et l’attention que nous accordons à leur souffrance est ce qui nous réunit toutes et tous, au sein de mon association. Cependant, sommes-nous bien toutes et tous conscients que la première source de souffrance animale dans le monde comme en France est… la consommation de viande ? Trois millions d’animaux sont tués chaque jour dans les abattoirs de notre pays, sans compter les poissons qui ne sont comptabilisés qu’à la tonne. Devenez végétarien(ne) et vous sauverez environ 95 animaux par an, sans bouger de votre cuisine !
Les animaux qui se retrouvent dans nos assiettes ne sont pas des animaux que l’on a trouvé morts par hasard un beau matin, au détour d’une promenade. Il ont été conçus, élevés, transportés et abattus spécialement pour être tués et mangés. Actuellement, le mode d’élevage le plus répandu est l’élevage industriel : quoique puisse vous dire votre boucher de quartier, c’est statistique, 9 animaux sur 10 en proviennent. L’élevage industriel consistant à produire une viande la moins chère possible pour le consommateur, on réduit les coûts de production au minimum.
Les animaux sont enfermés toute leur courte existence dans des bâtiments fermés, sans pouvoir sentir la lumière du soleil sur leur peau, ni l’herbe sous leurs pieds. Confinés dans un espace d’approximativement la surface de leur corps, vaches, cochons etc n’ont pour occupation que de mordre les chaînes et les barreaux de leurs boxes. Ils sont mutilés sans anesthésie, notamment pour les empêcher de se blesser mutuellement lorsque, devenus fous d’ennui et de frustration, ils se mettent à se battre entre eux. Pour une croissance plus rapide, ils sont nourris d’aliments artificiels de très mauvaise qualité, ainsi que d’antibiotiques et autres médicaments destinés à leur faire prendre du poids le plus rapidement possible.
Souvent, leur organisme ne suit pas cette croissance trop rapide : le cœur lâche, les membres cèdent et les animaux meurent écrasés par leur propre corps.
Il existe des élevages « en plein air » et « biologiques » où les animaux ont la chance de pouvoir vivre une vie plus conforme à leurs besoins naturels avant d’être tués. Mais cela ne change rien aux horreurs du transport et de la mise à mort.
Lorsque l’animal est jugé assez gros, il est emmené à l’abattoir. Sa première et dernière sortie est un enfer : n’étant déjà plus que de la viande sur pattes, il est entassé sans ménagement, avec des dizaines de ses congénères, dans un camion où il ne recevra ni eau ni nourriture. Dans ces camions de la mort, qui peuvent faire des milliers de kilomètres avant d’atteindre l’abattoir, les animaux sont tellement serrés les uns contre les autres que leurs organes et intestins, trop comprimés, ressortent parfois par leurs anus. Beaucoup de ces animaux ne survivent pas à ce voyage. Mais pour ceux qui arrivent vivants à l’abattoir, c’est l’horreur ultime, qui vient terminer une vie entière de souffrances. Les animaux, qui sentent l’odeur du sang et entendent les cris de leurs congénères en train de se faire tuer, sont traînés et frappés jusqu’aux chaînes d’abattage.
Ils sont ensuite (selon les espèces, les méthodes d’abattage diffèrent) assommés, décapités ou électrocutés avant d’être ébouillantés, égorgés ou abattus à coups de pistolet. Souvent, à cause de la trop grande rapidité des chaînes d’abattage ou parce que l’animal, complètement affolé, tourne la tête « au mauvais moment », l’étape d’étourdissement est manquée et l’animal se fait vider de son sang, couper en deux ou ébouillanter alors qu’il est encore conscient. Les contrôles vétérinaires existent bien, mais sont plus focalisés sur l’hygiène des installations et la qualité sanitaire de la viande que sur la réduction de la souffrance animale.
En ce qui concerne les poissons, le fait qu’ils vivent dans l’eau et ne crient pas ne signifient pas qu’ils souffrent moins. Sensibles comme nous aux seuils de décompression sous-marins, leurs organes explosent à l’intérieur de leurs corps lorsqu’ils sont remontés dans un filet à la surface de l’eau. Sortis de leur élément naturel, ils ne peuvent plus respirer et agonisent pendant de longues minutes sur les ponts des bateaux de pêche, et même parfois encore sur les étals des poissonniers.
Pourtant, ni la viande ni le poisson (ni les « fruits de mer », qui sont aussi des animaux qui souffrent quand on les tue) ne sont nécessaires à notre équilibre nutritionnel ni à notre santé. Il faut en terminer une bonne fois pour toutes avec le préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande. Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité et en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme. Du point de vue nutritionnel peu importe la source de la protéine, végétale ou animale, seule compte l'efficacité. Il faut noter qu'en moyenne, les consommateurs de viande absorbent le double de la ration protéinique recommandée, ce qui peut entraîner des maladies : arthritisme, maladies cardio-vasculaires, certains cancers, obésité...
La diététique officielle condamne d’ailleurs l'excès de consommation de viande. Par ailleurs, manger de cette chair morte n’est pas « naturel. La denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes, provoquant parfois des maladies. A l’inverse, les végétarien(ne)s vivent en moyenne six ans de plus que les omnivores, et souvent en bien meilleure santé !
La consommation de viande est également mauvaise pour les pays en voie de développement, qui vendent leurs céréales aux pays industrialisés comme la France pour qu’ils puissent nourrir leur bétail (ce qui est injuste car ces pays, souffrant souvent de famines chroniques, pourraient garder ces céréales pour eux-mêmes).
Enfin, la consommation de viande est très nuisible à l’environnement, l’élevage industriel étant extrêmement polluant (les lisiers contaminent les nappes phréatiques et les rivières), et synonyme de gaspillage. Saviez-vous que quand on consomme un steak, on "dépense" en moyenne 60 fois plus d'eau que si l'on mange une galette de blé, de riz, ou de soja ? Il faut en effet 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de boeuf, alors que 1 000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, riz ou soja. (source : Sciences & Vie - avril 1997). Avec les ressources que l’on consacre à nourrir une personne mangeant de la viande, on pourrait nourrir 7 végétariens.
N’hésitez donc plus : comme moi et des millions d’autres personnes de compassion à travers le monde, devenez végétarien(ne) ! Vous vous régalerez d’une cuisine saine et savoureuse, excellente pour la santé, tout en sauvant les animaux et en exerçant une influence positive sur l’environnement ainsi que sur les pays pauvres. Pour vous documenter davantage sur le sujet et trouver des recettes, rendez-vous sur http://www.vegetarisme.fr/ et sur http://www.petafrance.com/
(qui propose un « kit du végétarien en herbe »).
©2005 - 2010 Association Stéphane LAMART « Pour la défense des droits des animaux »
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Taux vibratoire énergétique
http://l-instant-magique.o ver-blog.com/article-taux- vibratoire-energetique-653 62226.html
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Par JahNiels le 5 Septembre 2011 à 23:35
Energiologie
L'énergiologie est l'étude et la connaissance de l'énergie vitale de notre monde, dans toutes ses expressions. Par sa vision intérieure, l'énergiologue voit, à l'intérieur du corps, les dérives des volumes énergétiques et les causes de leur dissociation. Son regard recrée l'unité du terrain et restaure la santé.
Qu'est ce que l'énergiologie ? : Tout est énergie
Le monde dans lequel nous vivons est apparemment organisé autour de règles simples telles que, par exemple, la loi de la gravitation, l'écoulement linéaire du temps, l'enchaînement des causes et des effets, le libre arbitre des individus… Tout ceci est une vision extrêmement réductrice de ce qui se passe réellement.
En effet, ce monde et les événements qui s'y produisent, notre personne et les décisions qu'elle semble prendre, nos pensées, nos émotions, nos souffrances, nos guérisons, un arbre qui pousse, un oiseau qui chante… toutes ces circonstances ne sont que les mouvements d'une énergie monumentale qui en est à la fois l'origine et l'aboutissement. Rien n'est différent de cette vitalité formidable et le moindre événement est le fruit de sa pulsation spontanée. Cette énergie est le "vivant" ; il n'existe rien d'autre que lui. C'est ce "souvenir d'être" qui nous reste parfois lorsque l'on émerge du sommeil profond.
Quel que soit notre état de conscience (éveillé, en train de rêver ou endormi) cette énergie source est toujours présente ; elle est ce que nous sommes, ainsi que chaque élément visible et invisible de notre monde. L'idée d'être un individu particulier qui aurait des choix à faire pour orienter le cours de sa vie, et qui serait donc différent de cette énergie, est tout simplement impossible, car rien n'existe qui ne soit elle.
L'individu ne perçoit jamais le vivant ; ce qu'il peut saisir de lui n'est que son reflet dans tout ce qui est : c'est l'énergie vitale de ce monde.ENERGIOLOGIE
La conscience d'être en énergiologie (10:43)
La conscience d'être en énergiologie par energiologieL'énergiologie, un autre regard sur votre santé - Partie 1 (10:47)
L'énergiologie, un autre regard sur votre santé... par energiologie
L'énergiologie : voir et corriger l'origine des problèmes...
L'énergiologie : voir et corriger l'origine des... par energiologie
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L'énergiologie est l'étude et la connaissance de cette énergie vitale dans toutes ses expressions. Elle développe les attitudes nécessaires pour voir ces énergies aussi bien dans la nature que dans l'être humain ou toute autre forme de vie.
Dans le domaine thérapeutique, elle apprend à reconnaître les organisations et les déséquilibres énergétiques, ainsi que les conséquences qu'ils peuvent avoir sur notre corps. Enfin, elle met en place des techniques pour travailler et harmoniser ces énergies dans un souci de restauration de la santé et de relance de la vitalité.Exemple de déséquilibres énergétiques possibles
Une femme de 45 ans (deux enfants) consulte pour des problèmes circulatoires (hémorroïdes). Elle a eu un accident de voiture il y a 15 ans et a vécu ensuite beaucoup d'émotions. Depuis, elle a des maux de tête très handicapants, une otite chronique àl'oreille droite, des douleurs constantes au dos et au ventre et s'est fait enlever la vésicule biliaire. On constate également une tumeur probable dans l'aine gauche, incluse dans un décalage général, toujours actif, de la présence vitale.L'énergiologue : Voir pour soigner
Par sa vision intérieure, les yeux fermés, l'énergiologue peut voir le déséquilibre responsable du problème qui lui est présenté. Il est capable, d'un simple regard, de repérer toutes les couches énergétiques qui composent le corps humain. Ces différents plans d'énergie sont unis par des liens dynamiques élastiques qui se distendent en cas d'agression et reviennent plus ou moins vite à leur place. Des décalages peuvent alors se créer et se figer. Ce déséquilibre énergétique bouleverse ensuite le terrain anatomique qui va souffrir.
Par une pensée tranquille, l'énergiologue libère les blocages qu'il a identifiés et participe ainsi à la réinstallation des formes et des circulations de santé.
L'énergiologue sait que, dans ce monde l'énergie vitale, est tout ce qui existe. L'énergie vitale conçoit les idées, fabrique les objets, les utilise dans telles ou telles circonstances. C'est elle qui invente et réalise tous les événements. Rien ne se fait sans elle. C'est le cas en matière de soins, et l'énergiologue n'est, en réalité, que le spectateur de ce qui s'opère devant ses yeux.
Même si l'idée d'être une personne se manifeste toujours en lui, l'énergiologue sait que ce qui regarde le monde à l'intérieur de lui, ce point central qui lui fait dire "je", n'est rien d'autre que l'énergie vitale, pleine et indivisible. La croyance d'être une entité particulière, différente des autres entités vivantes n'est pas une réalité : c'est seulement une pensée ; une pensée tellement puissante qu'elle nous oblige à voir le monde de façon erronée, comme à travers un miroir déformant.
Cette compréhension provoque une relaxation intérieure et une prise de recul naturelle, qui définissent l'attitude de l'énergiologue. Celui-ci a en effet conscience que le mieux être ou la guérison de ses patients est le résultat d'un jeu qui le dépasse, mais qui, néanmoins, ne se produirait pas sans sa présence et sa vision énergétique.Les énergies de la forme
L'énergie vitale crée et traverse à la fois tous les objets. Certains ont des formes particulières, ils émettent alors des ondes qui s'organisent de façon spécifique, ce qui peut leur conférer une influence énergétique originale. Toutes ces influences peuvent être ressenties à l'intérieur du corps humain, si l'on y porte une attention suffisante.
Déambuler dans la vie avec cette compréhension permet de voir son corps traversé sans arrêt par des touchers subtils.Les égyptiens : Sculpteurs énergétiques
Les vestiges de la civilisation égyptienne prouvent que les anciens Egyptiens maîtrisaient cette connaissance. La vision intérieure de l'énergiologue repère en effet aisément que les formes, grandes ou petites, construites dans les principaux sanctuaires ont toutes une intention énergétique précise. De l'allée des Sphynx de Karnac au temple de Louxor, chaque statue, chaque colonne travaille et vitalise, par sa forme et sa disposition dans le site, l'organisation énergétique de celui qui s'en approche. Pour l'énergiologue, ces objets "parfaits" ont une forme en parfaite correspondance avec l'énergie qui s'en dégage.
Les énergies de la nature
Dans la nature, les éléments ont une influence par leur forme, mais aussi par leur spécificité. Ainsi l'arbre a sans doute inspiré la fonction de l'obélisque par les Anciens Egyptiens. En effet, il rassemble et draine les énergies de la terre autour de son pied, les conduit le long de son tronc pour les déverser en pluie fine par ses branches. Chaque arbre réalise ensuite un travail bien spécifique sur le corps humain : le chêne, par exemple, draine et vitalise la région du coeur et stimule la circulation des liquides dans le corps ; le pin travaille le plexus solaire, nettoie la tête des énergies trop lourdes en tirant le corps vers le haut ; l'olivier élargit tous les plans et centres subtils et libère avec une grande douceur le flux des énergies sources.Textes et images sauf la première...
http://energiologie.com/energiologietoutestenergie.php
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Par JahNiels le 1 Février 2011 à 10:52
Food Inc (2006)
Voici le documentaire sur l’industrie alimentaire qui a secoué les Etats-unis. Food, Inc. décortique les rouages d’une industrie qui altère chaque jour notre environnement et notre santé. Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l’enquête pour savoir comment est fabriqué ce que nous mettons dans nos assiettes. Derrière les étiquettes pastorales de " produits fermiers ", il découvre avec beaucoup de difficulté le tableau bien peu bucolique que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : conditions d’élevage et d’abattage du bétail désastreuses, collusion entre les industriels et les institutions de régulation, absence de scrupules environnementaux, scandales sanitaires... Éleveurs désespérés, experts indépendants, entrepreneurs intègres et défenseurs du droit des consommateurs esquissent, chacun à leur manière, le portrait d’une industrie qui sacrifie la qualité des produits et la santé de ses clients sur l’autel du rendement.
ou
http://mega-streaming.info/video/GO3KA5NRY8A2/Les-Alimenteurs-Food-Inc
Après ce film vous ne regarderez plus votre assiette de la même manière Colette Roos, journaliste à Rue89 et France Inter, a écrit au sujet du film : "Un monde où élever des vaches au pré serait un acte de résistance. Où l’on tuerait, dans un abattoir gargantuesque, 30.000 porcs par jour. Où il serait plus difficile d’obtenir le droit de visiter une usine de steaks qu’une centrale atomique. Où se faire servir un hamburger coûterait moins cher qu’acheter une pomme. Où les poulets, élevés dans le noir et engraissés trop vite, ne pourraient plus tenir sur leurs pattes. Un monde où la nourriture rendrait malade et où il serait impossible de savoir de quoi elle est faite. Ce monde, c’est celui que les chaînes de fast-food et, derrière elles, les industriels de l’agroalimentaire ont façonné. C’est celui que le documentariste Robert Kenner a choisi de montrer dans son film à charge, Food, inc. Les acteurs principaux ? Mc Donald’s ou Monsanto, mais aussi Tyson, IBP ou Smithfield, transformateurs de viande qui contrôlent des millions de bêtes et décident du sort de fermiers désespérés et surendettés. Face à ces entreprises qui ruinent l’environnement autant que la santé de leurs clients, nul salut à attendre des instances de régulation américaines, infiltrées par d’ex-cadres de l’agroalimentaire. Le seul mode d’action possible ? S’informer pour comprendre pourquoi les calories les moins chères à l’achat sont aussi les plus coûteuses pour la planète, les humains et les animaux qu’ils exploitent. Un avertissement adressé à ses compatriotes, mais aussi valable ici, où des lobbies travaillent à affaiblir la règlementation européenne et des entreprises, à s’approprier le vivant. Consommateurs, vous êtes ce que vous mangez. Et vous forgez le monde de demain par ce que vous achetez".Ce que vous allez apprendre avec Food, Inc.
Dans les années 70, le top 5 des emballeurs de viande bovine contrôlait environ 25% du marché. Aujourd’hui, les 4 plus grosses entreprises détiennent plus de 80% du dit marché. A la même époque, les Etats- Unis comptaient des milliers d’abattoirs produisant la majorité du boeuf vendu. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 13. Un supermarché moderne a, en moyenne, 47 000 produits ; la majorité de ceux-ci a été produit par seulement une poignée d’entreprises de l’agroalimentaire. En 1998, le Département de l’Agriculture des USA (USDA) a décidé de faire des tests bactériologiques contre la salmonelle et certains E. coli (bactérie intestinale). Ainsi, si une usine échouait plusieurs fois à ces tests, l’USDA pouvait la faire fermer. Après avoir été traîné au tribunal par les associations de producteurs de viandes et de volailles, le Département de l’Agriculture n’a désormais plus ce pouvoir. En 2007, 73 000 personnes ont été atteintes du virus E. coli. En 1972, l’Administration de l’Alimentation et des Drogues (FDA) a conduit 50 000 inspections sanitaires. En 2006, ce nombre est tombé à 9164 contrôles. Sous l’administration Bush, la FDA avait à sa tête l’ancien vice-président de l’Association Nationale des Robots de Cuisine. Toujours, sous Bush, le chef d’équipe de l’UDSA était un ancien chef du lobby de l’industrie bovine à Washington. Avant de se reconvertir dans l’agro-business, Monsanto était une industrie chimique qui a produit, entre autres choses, des pesticides (DDT) et l’Agent Orange (un défoliant utilisé pendant la guerre du Vietnam). Le juge de la Cour Suprême, Clarence Thomas était un avocat de Monsanto à la fin des années 70. Alors qu’il était en poste à la Cour Suprême, Mr Thomas a écrit, dans une affaire, une opinion majoritaire qui a aidé Monsanto à faire respecter ses brevets de semences. Avec 32 000 cochons tués par jour, l’entreprise Smithfield de Tar Heel en Caroline du Nord est le plus gros abattoir du monde. En moyenne, un américain mange plus de 90 kg de viandes pas an. 30% des terres américaines servent aux plantations de maïs. 1 américains sur 3, né après 2000 va contracter un diabète précoce.¨Pour les minorités, ce ratio peut monter à 1 sur 2.
Posté par David Naulin
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