• REDUISONS NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE !!!

    REDUISONS NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE !!!Par Slowenn Jeza Storm

    REDUISONS NOTRE CONSOMMATION DE VIANDE !!!

    Si on arrête de consommer des produits d’origine animale,
    - on réduit la destruction des forêts tropicales de 70 %
    - on sauve 923 millions de vies qui crient famine

    - on résout une grande partie du réchauffement climatique,
    - on évite certaines guerres
    - on sauve la planète de la plupart catastrophes naturelles

    - on évite la naissance et la propagation d’épidémies
    - on résout les problèmes de pénuries d’eau

    - on met fin à la pollution des nappes phréatiques, des rivières et des océans

    - on met fin à l’extinction de milliers d’espèces animales sauvages

    - on met fin à l’acidification des océans qui tue le corail et la vie marine...

    - On estime qu'un végétarien consomme en moyenne 180 kilos de céréales par an alors qu'un consommateur de viande en gaspille 930 kilos par an.

    - Pour obtenir 1 calorie de poulet, il faut ainsi environ 4 calories de nourriture végétale. Idem pour le porc ou les oeufs. Pour le lait, on grimpe à 8. Et pour le boeuf, à 17, voire bien plus ! En comparaison, la pomme de terre est bien moins gourmande, son taux de conversion n'étant que de 0,46

    - Pour produire 100 grammes de boeuf, il faut 25 000 litres d'eau.
    Glouton, notre cheptel est aussi expansionniste.

    - Au total, l'élevage et la production des aliments pour le bétail squattent 78% des terres agricoles mondiales, soit 30% de toute la surface du globe, trois fois plus qu'en 1960.


    Chaque année, des millions de gens meurent dans le monde suite à la sous-alimentation tandis que d'autres ont le luxe de gaspiller leur nourriture, laissant la moitié de leur repas dans leur assiette, nourrissant leur chien de leurs restes... Nous avons beaucoup de chance, mais si votre enfant venait à mourir de faim ne souhaiteriez-vous pas que le reste en du monde en consomme un peu moins ?



    33% des terres cultivables de la planète sont utilisées à produire l’alimentation des animaux d’élevage ; 26% de la surface des terres émergées non couvertes par les glaces est employée pour le pâturage.
    Au total, ce sont 70% des terres à usage agricole et 30% de la surface de la terre qui, directement ou indirectement, sont consacrées à l’élevage. De plus, 35,5% du volume des céréales produites dans le monde sert à nourrir les animaux d’élevage. Soit 670 millions de tonnes au total ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 850 millions d’êtres humains souffrant de malnutrition.

    il faut 4 à 10 fois plus de terre pour nourrir des mangeurs de viande que des végétariens.

    Par exemple, il faut 300 g de céréales pour produire 100 g de poulet, 500 g de céréales pour 100 g de bœuf. Il en faut encore plus pour produire 100 g de porc.
    500 g de céréales sont donc nécessaires à la production de 100 g de bœuf. Juste une petite comparaison, 100 g de bœuf fournissent 16 g de protéines alors que 500 g de céréales fournissent 50 g de protéines. Ne pensez-vous pas que nous avons perdu des protéines en chemin? Est ce qu'il ne serait pas intelligent que les personnes qui ont les moyens et la possibilité de s'acheter un steak partagent leurs protéines avec ceux qui en ont besoin tout simplement en préférant occasionnellement des plats de végétaux ou céréales?


    · Quelques chiffres intéressants

    Apparemment si les Américains réduisaient leur consommation de viande de 10 %, cent million de personnes pourraient être nourries par les céréales qui étaient utilisées pour le bétail. Et si chacun d'entre nous réduisait sa consommation de viande ou même devenait végétarien? Faites-en les calculs.

    Aux États-Unis 70 % des céréales vont aux animaux d’élevage. En Inde seulement 2 % des céréales vont aux animaux.

    Selon la section d’« Agriculture mondiale » de la FAO, à l’heure actuelle 776 millions de personnes, soit 1 sur 6 souffrent de malnutrition et, en dépit d’une production céréalière en augmentation de près d’un milliard de tonnes depuis le milieu des années 1960, un pourcentage important de cette quantité n’est pas utilisé au bénéfice des humains. Un peu plus d’un tiers du rendement mondial en céréales est destiné aux animaux chaque année, de même qu’un quart de la production mondiale de poissons.

    La « Compassion in world farming » affirme qu’en 1985, pendant la famine en Éthiopie, alors que la population mourait de faim, le même pays exportait des céréales pour le bétail anglais.

    Ce modèle s'étend même à la Chine qui augmente sa consommation de viande à mesure que sa population s'enrichit. Certains agriculteurs américains prévoient que dans l’avenir, l’agriculture intensive (occidentale) permettra d’alimenter la production animale en Chine.L'institut de recherche américain Earth Policy Institute soulignait, en mars dernier, que si les chinois consomment les ressources en 2031 de manière si vorace que les Américains, la consommation de grains par personne là-bas augmenterait de 291 kilos actuellement à 935 kilos. C’est-à-dire que la Chine consommera 1,352 millions de tonnes de grains, une quantité lointaine des 382 millions de tonnes usées en 2004. Cela est égal à deux tiers de la consommation totale de céréales en 2004.7

    En résumé, sur une même terre, nous pouvons produire plus de céréales que de viande et les céréales sont données aux animaux. Il y a une double perte. Nous pourrions alimenter beaucoup plus de personnes si celles-ci consommaient directement les céréales. La faim dans le monde pourrait alors être largement limitée si nous réduisions ou éliminions nos habitudes carnivores

    Il suffirait de renoncer à la viande pour soulager la pénurie de céréales tout en préservant l'environnement et notre santé. "L'élite intellectuelle dans les pays développés trouve parfaitement normal de s'inquiéter de la surpopulation dans le monde, mais elle oublie toujours un fait. La vraie surpopulation, c'est celle du bétail."
    L'auteur de ces phrases n'est pas un vachophobe excentrique ou un végétarien fanatique mais l'économiste américain Jeremy Rifkin, auteur, entre deux essais sur le travail ou les nouvelles technologies, du passionnant "Beyond Beef", un essai sur l'impact dévastateur de l'industrie de l'élevage.


    Surpopulation ? Avec 1,4 milliard de vaches, notre planète croule en effet sous le bétail : le poids cumulé de tous ces ruminants est supérieur à celui de toute la population humaine avec ses 6 milliards d'habitants ! Et c'est de pire en pire. La production de viande a été multipliée par cinq depuis les années 1950, pour passer à 265 millions de tonnes, et devrait encore doubler pendant les 20 années à venir. De quoi affoler les experts en alimentation, qui se demandent bien comment la terre pourra nourrir les 3 milliards d'humains supplémentaires de ces prochaines décennies.


    La concurrence entre les animaux d'élevage et les hommes s'annonce très rude.
    - 80% de l'alimentation animale proviennent de cultures qui conviendraient également à la consommation humaine : maïs, soja.
    - A l'ère de l'élevage industriel, nos bêtes accaparent à elles toutes seules 60% de la production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 923 millions d'êtres humains souffrant de malnutrition. En fait, d'un point de vue malthusien, la viande n'est pas «rentable».

    «Sur un hectare de terrain, un agriculteur peut nourrir une trentaine de personnes s'il le consacre à la culture de légumes ou de fruits. S'il produit des oeufs ou de la viande, le ratio passe à cinq personnes. Et à beaucoup, beaucoup, moins, s'il ne s'agit que de viande rouge», dit ainsi Bruno Parmentier, auteur de «Nourrir l'humanité» et directeur de l'Ecole supérieure d'Agriculture d'Angers.


    Des périls verts à quatre pattes :
    - Le plus insensé ? C'est que toute cette bidoche est en priorité destinée à 0,1% de la population de la planète, l'infime petite minorité des riches de ce monde. Notre consommation de viande est passée de 30 kilos par personne et par an en 1919 à plus de 100 kilos aujourd'hui. C'est trois fois plus que la quantité préconisée par les organismes de santé.
    Non seulement notre régime carnivore affame la planète, mais il nous tue aussi par la recrudescence des maladies de "biens nourris" : accidents cardiovasculaires, diabète, obésité...

    - Et pour ne rien arranger, il contribue au réchauffement climatique.

    Selon un rapport publié en 2006 par la FAO de l’ONU, l'élevage est responsable de 18% des émissions des gaz à effet de serre. Soit plus que le secteur des transports ! Avec leurs flatulences chargées de méthane [72 fois plus puissant que le CO2 sur 20 ans], leurs tonnes de fumier gorgé de gaz hilarant, le fameux NO2 également des plus nocifs [300 fois plus puissant que le CO2], sans compter les émissions d'ammoniac synonymes de pluies acides et leurs déjections qui polluent les nappes phréatiques, nos charmants bovins sont des périls verts à quatre pattes.

    - L'extension de leurs pâturages fait des ravages. En Amérique centrale, 20% des zones sylvestres ont déjà été ratiboisées. Et c'est encore pire au Brésil, où 38% de l'Amazonie ont été sacrifiés pour les bovins. Une déforestation qui s'accélère avec les immenses plantations de soja destinées à nourrir nos vaches, toujours elles. Mon royaume pour une entrecôte.
    Doan Bui, Le Nouvel Jal ObserVateur

    http://www.vegplanete.com/

    *http://mariadeveloppementd urable.blogspot.com/2010/0 2/1.html
    *http://revegezvous.unblog. fr/protection-de-lenvironn ement-et-du-tiers-monde-un -monde-en-paix/vegetarisme -et-survie-de-la-planete/
    *http://dcroissance.blog4ev er.com/blog/articles-cat-4 43006-480036-alimentation_ sante.html


    EARTHLINGS - TERRIENS (Sous-Titres Français)
    http://video.google.com/vi deoplay?docid=409373021607 4063220#

    Soyons honnête avec nous même, devenons végétarien!
    Commençons au moins par baisser notre consommation de viande de manière significative...

    Je vais vomir un peu et je reviens !!!
    http://www.agoravox.fr/act ualites/sante/article/je-v ais-vomir-un-peu-et-je-rev iens-89142

    Film vege
    http://filmvege.blip.tv/

    Pourquoi devenir végétarien ?
    par Slowënn Oxanda, vendredi 6 août 2010, 21:35
    http://www.facebook.com/no te.php?note_id=13785080291 9588

    Devenez végétarien !

    Extrait de:> Association Stéphane Lamart pour la défense des animaux.
    Nos pétitions en cours. Dites non aux Corridas, Justice pour animaux,Pigeonnier,Protect

     ion des animaux de ferme,Animaux domestique et sauvage... http://www.associationstep hanelamart.com/index.php?

    Pourquoi devenir végétarien ?

    L’amour des animaux et l’attention que nous accordons à leur souffrance est ce qui nous réunit toutes et tous, au sein de mon association. Cependant, sommes-nous bien toutes et tous conscients que la première source de souffrance animale dans le monde comme en France est… la consommation de viande ? Trois millions d’animaux sont tués chaque jour dans les abattoirs de notre pays, sans compter les poissons qui ne sont comptabilisés qu’à la tonne. Devenez végétarien(ne) et vous sauverez environ 95 animaux par an, sans bouger de votre cuisine !

    Les animaux qui se retrouvent dans nos assiettes ne sont pas des animaux que l’on a trouvé morts par hasard un beau matin, au détour d’une promenade. Il ont été conçus, élevés, transportés et abattus spécialement pour être tués et mangés. Actuellement, le mode d’élevage le plus répandu est l’élevage industriel : quoique puisse vous dire votre boucher de quartier, c’est statistique, 9 animaux sur 10 en proviennent. L’élevage industriel consistant à produire une viande la moins chère possible pour le consommateur, on réduit les coûts de production au minimum.

    Les animaux sont enfermés toute leur courte existence dans des bâtiments fermés, sans pouvoir sentir la lumière du soleil sur leur peau, ni l’herbe sous leurs pieds. Confinés dans un espace d’approximativement la surface de leur corps, vaches, cochons etc n’ont pour occupation que de mordre les chaînes et les barreaux de leurs boxes. Ils sont mutilés sans anesthésie, notamment pour les empêcher de se blesser mutuellement lorsque, devenus fous d’ennui et de frustration, ils se mettent à se battre entre eux. Pour une croissance plus rapide, ils sont nourris d’aliments artificiels de très mauvaise qualité, ainsi que d’antibiotiques et autres médicaments destinés à leur faire prendre du poids le plus rapidement possible.

    Souvent, leur organisme ne suit pas cette croissance trop rapide : le cœur lâche, les membres cèdent et les animaux meurent écrasés par leur propre corps.

    Il existe des élevages « en plein air » et « biologiques » où les animaux ont la chance de pouvoir vivre une vie plus conforme à leurs besoins naturels avant d’être tués. Mais cela ne change rien aux horreurs du transport et de la mise à mort.

    Lorsque l’animal est jugé assez gros, il est emmené à l’abattoir. Sa première et dernière sortie est un enfer : n’étant déjà plus que de la viande sur pattes, il est entassé sans ménagement, avec des dizaines de ses congénères, dans un camion où il ne recevra ni eau ni nourriture. Dans ces camions de la mort, qui peuvent faire des milliers de kilomètres avant d’atteindre l’abattoir, les animaux sont tellement serrés les uns contre les autres que leurs organes et intestins, trop comprimés, ressortent parfois par leurs anus. Beaucoup de ces animaux ne survivent pas à ce voyage. Mais pour ceux qui arrivent vivants à l’abattoir, c’est l’horreur ultime, qui vient terminer une vie entière de souffrances. Les animaux, qui sentent l’odeur du sang et entendent les cris de leurs congénères en train de se faire tuer, sont traînés et frappés jusqu’aux chaînes d’abattage.

    Ils sont ensuite (selon les espèces, les méthodes d’abattage diffèrent) assommés, décapités ou électrocutés avant d’être ébouillantés, égorgés ou abattus à coups de pistolet. Souvent, à cause de la trop grande rapidité des chaînes d’abattage ou parce que l’animal, complètement affolé, tourne la tête « au mauvais moment », l’étape d’étourdissement est manquée et l’animal se fait vider de son sang, couper en deux ou ébouillanter alors qu’il est encore conscient. Les contrôles vétérinaires existent bien, mais sont plus focalisés sur l’hygiène des installations et la qualité sanitaire de la viande que sur la réduction de la souffrance animale.

    En ce qui concerne les poissons, le fait qu’ils vivent dans l’eau et ne crient pas ne signifient pas qu’ils souffrent moins. Sensibles comme nous aux seuils de décompression sous-marins, leurs organes explosent à l’intérieur de leurs corps lorsqu’ils sont remontés dans un filet à la surface de l’eau. Sortis de leur élément naturel, ils ne peuvent plus respirer et agonisent pendant de longues minutes sur les ponts des bateaux de pêche, et même parfois encore sur les étals des poissonniers.

    Pourtant, ni la viande ni le poisson (ni les « fruits de mer », qui sont aussi des animaux qui souffrent quand on les tue) ne sont nécessaires à notre équilibre nutritionnel ni à notre santé. Il faut en terminer une bonne fois pour toutes avec le préjugé tenace qui tend à confondre protéines et viande. Le règne végétal est tout aussi capable d'apporter, en qualité et en quantité, les protéines et acides aminés nécessaires à notre organisme. Du point de vue nutritionnel peu importe la source de la protéine, végétale ou animale, seule compte l'efficacité. Il faut noter qu'en moyenne, les consommateurs de viande absorbent le double de la ration protéinique recommandée, ce qui peut entraîner des maladies : arthritisme, maladies cardio-vasculaires, certains cancers, obésité...

    La diététique officielle condamne d’ailleurs l'excès de consommation de viande. Par ailleurs, manger de cette chair morte n’est pas « naturel. La denture, l'estomac et l'intestin de l'homme sont très différents de ceux des carnivores. L'intestin en particulier ne mesure que quatre à cinq fois la longueur du corps chez ces derniers, contre dix à douze fois chez l'homme. Ce parcours est trop long pour la viande qui a ainsi le temps de libérer ses toxines qui sont absorbées par la muqueuse intestinale avant de passer dans le sang. Ces déchets toxiques (urates, acide lactique, corps gras saturés, albumine) et les purines de la viande sont très difficiles à éliminer par le foie et les reins. Ce surcroît de travail fatigue et encrasse à la longue ces organes, provoquant parfois des maladies. A l’inverse, les végétarien(ne)s vivent en moyenne six ans de plus que les omnivores, et souvent en bien meilleure santé !

    La consommation de viande est également mauvaise pour les pays en voie de développement, qui vendent leurs céréales aux pays industrialisés comme la France pour qu’ils puissent nourrir leur bétail (ce qui est injuste car ces pays, souffrant souvent de famines chroniques, pourraient garder ces céréales pour eux-mêmes).

    Enfin, la consommation de viande est très nuisible à l’environnement, l’élevage industriel étant extrêmement polluant (les lisiers contaminent les nappes phréatiques et les rivières), et synonyme de gaspillage. Saviez-vous que quand on consomme un steak, on "dépense" en moyenne 60 fois plus d'eau que si l'on mange une galette de blé, de riz, ou de soja ? Il faut en effet 100 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande de boeuf, alors que 1 000 à 2000 litres suffisent pour produire 1 kg de blé, riz ou soja. (source : Sciences & Vie - avril 1997). Avec les ressources que l’on consacre à nourrir une personne mangeant de la viande, on pourrait nourrir 7 végétariens.

    N’hésitez donc plus : comme moi et des millions d’autres personnes de compassion à travers le monde, devenez végétarien(ne) ! Vous vous régalerez d’une cuisine saine et savoureuse, excellente pour la santé, tout en sauvant les animaux et en exerçant une influence positive sur l’environnement ainsi que sur les pays pauvres. Pour vous documenter davantage sur le sujet et trouver des recettes, rendez-vous sur http://www.vegetarisme.fr/ et sur http://www.petafrance.com/
    (qui propose un « kit du végétarien en herbe »).

    ©2005 - 2010 Association Stéphane LAMART « Pour la défense des droits des animaux »
    B.P 154 – 94208 Ivry sur Seine Cedex Tel : +33 (0) 1 46 71 18 36
    Bureau à Paris +33 (0) 1 44 75 00 47
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    Taux vibratoire énergétique
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